La diva new-yorkaise Emily King publiait le 01 Février dernier son troisième opus baptisé Scenery. Repérée au milieu des années 2000 pour ses collaborations avec Nas puis John Legend et Floetry, elle sort son premier disque East Side Story en 2007, qui se retrouve dans la foulée nominé aux Grammy Awards dans la catégorie Meilleur album R&B contemporain de l'année. Faisant la première partie des concerts d'Alicia Keys, Chaka Khan, Maroon 5, Emily Sandé ou encore Erykah Badu, King est invitée à s'illustrer auprès du crooner José James en 2013, lors de l'enregistrement de son excellent No Beginning No End. The Switch, son second LP réalisé en Juin 2015, est en grande partie produit par le guitariste Jeremy Most (Anthony Hamilton, Teedra Moses, The Chainsmokers, ...), un tandem gagnant que l'on retrouve ici dans ce dernier effort, largement empreint de sonorités R&B et de touches pop 80's plutôt accrocheuses. La voix cristalline et parfaitement maîtrisée de l'auteure-compositrice et interprète brille toujours autant, elle est servie par les orchestrations sophistiquées et taillées sur mesure de son fidèle complice, qui l'a suivi dans sa retraite à la montagne (Catskill). Ballades soulful romantiques et chansons au groove entêtant se succèdent avec en toile de fond, l'influence bienveillante de Michael Jackson...
"MUSIC CREATES ORDER OUT OF CHAOS" (Yehudi Menuhin) hiko.events@gmail.com www.mixcloud.com/hikoevents
vendredi 28 juin 2019
Emily King - Scenery (ATO Records/Pias)
Emily King - Scenery (ATO Records/Pias)
La diva new-yorkaise Emily King publiait le 01 Février dernier son troisième opus baptisé Scenery. Repérée au milieu des années 2000 pour ses collaborations avec Nas puis John Legend et Floetry, elle sort son premier disque East Side Story en 2007, qui se retrouve dans la foulée nominé aux Grammy Awards dans la catégorie Meilleur album R&B contemporain de l'année. Faisant la première partie des concerts d'Alicia Keys, Chaka Khan, Maroon 5, Emily Sandé ou encore Erykah Badu, King est invitée à s'illustrer auprès du crooner José James en 2013, lors de l'enregistrement de son excellent No Beginning No End. The Switch, son second LP réalisé en Juin 2015, est en grande partie produit par le guitariste Jeremy Most (Anthony Hamilton, Teedra Moses, The Chainsmokers, ...), un tandem gagnant que l'on retrouve ici dans ce dernier effort, largement empreint de sonorités R&B et de touches pop 80's plutôt accrocheuses. La voix cristalline et parfaitement maîtrisée de l'auteure-compositrice et interprète brille toujours autant, elle est servie par les orchestrations sophistiquées et taillées sur mesure de son fidèle complice, qui l'a suivi dans sa retraite à la montagne (Catskill). Ballades soulful romantiques et chansons au groove entêtant se succèdent avec en toile de fond, l'influence bienveillante de Michael Jackson...
La diva new-yorkaise Emily King publiait le 01 Février dernier son troisième opus baptisé Scenery. Repérée au milieu des années 2000 pour ses collaborations avec Nas puis John Legend et Floetry, elle sort son premier disque East Side Story en 2007, qui se retrouve dans la foulée nominé aux Grammy Awards dans la catégorie Meilleur album R&B contemporain de l'année. Faisant la première partie des concerts d'Alicia Keys, Chaka Khan, Maroon 5, Emily Sandé ou encore Erykah Badu, King est invitée à s'illustrer auprès du crooner José James en 2013, lors de l'enregistrement de son excellent No Beginning No End. The Switch, son second LP réalisé en Juin 2015, est en grande partie produit par le guitariste Jeremy Most (Anthony Hamilton, Teedra Moses, The Chainsmokers, ...), un tandem gagnant que l'on retrouve ici dans ce dernier effort, largement empreint de sonorités R&B et de touches pop 80's plutôt accrocheuses. La voix cristalline et parfaitement maîtrisée de l'auteure-compositrice et interprète brille toujours autant, elle est servie par les orchestrations sophistiquées et taillées sur mesure de son fidèle complice, qui l'a suivi dans sa retraite à la montagne (Catskill). Ballades soulful romantiques et chansons au groove entêtant se succèdent avec en toile de fond, l'influence bienveillante de Michael Jackson...
jeudi 27 juin 2019
Awir Leon - Man Zoo (Alter-K)
Awir Leon - Man Zoo (Alter-K)
Originaire de Dunkerque et actuellement basé à Amsterdam, François Przybylski alias Awir Leon publiera le 28 Septembre prochain son second opus baptisé Man Zoo. Artisan d'une soul électronique immersive et hypnotique qui n'a rien a envier à celle de l'anglais James Blake, le jeune auteur, compositeur et interprète (également danseur émérite) nous livre un recueil vibrant et intimiste de 12 compositions inspirées, mêlant tendrement ses premières amours musicales à savoir la néo soul de D'Angelo ou d'Erykah Badu et le hip-hop de J-Dilla ou Mos Def aux influences, plus tardives, de l'electronica, du post dubstep, de la néofolk ou encore de l'indie pop. L'univers rythmique et mélodique plutôt futuriste, voire expérimental, qu'il élabore, hanté de nappes pop nébuleuses et de sonorités organiques raffinées, brille par son dépouillement et sa fragilité qui ne sont en fait qu'apparents et passagers, en effet quelques passages exultent avec un lyrisme nous faisant parfois songer aux héros Jamie XX, Woodkid ou encore Radiohead. Entouré d'une garde rapprochée talentueuse composée de son frère Sylvain Przybylski (basse) et de Floyd Shakim (piano), J.Kid (sampler), Ikaz Boi, Sébastien Forrester et Damien Rice (sur "Feathers"), Awir Leon captive d'emblée grâce à sa voix légère et aérienne parfaitement maîtrisée et son groove filtré richement orné de textures orchestrales enveloppantes. Un disque poignant!
Originaire de Dunkerque et actuellement basé à Amsterdam, François Przybylski alias Awir Leon publiera le 28 Septembre prochain son second opus baptisé Man Zoo. Artisan d'une soul électronique immersive et hypnotique qui n'a rien a envier à celle de l'anglais James Blake, le jeune auteur, compositeur et interprète (également danseur émérite) nous livre un recueil vibrant et intimiste de 12 compositions inspirées, mêlant tendrement ses premières amours musicales à savoir la néo soul de D'Angelo ou d'Erykah Badu et le hip-hop de J-Dilla ou Mos Def aux influences, plus tardives, de l'electronica, du post dubstep, de la néofolk ou encore de l'indie pop. L'univers rythmique et mélodique plutôt futuriste, voire expérimental, qu'il élabore, hanté de nappes pop nébuleuses et de sonorités organiques raffinées, brille par son dépouillement et sa fragilité qui ne sont en fait qu'apparents et passagers, en effet quelques passages exultent avec un lyrisme nous faisant parfois songer aux héros Jamie XX, Woodkid ou encore Radiohead. Entouré d'une garde rapprochée talentueuse composée de son frère Sylvain Przybylski (basse) et de Floyd Shakim (piano), J.Kid (sampler), Ikaz Boi, Sébastien Forrester et Damien Rice (sur "Feathers"), Awir Leon captive d'emblée grâce à sa voix légère et aérienne parfaitement maîtrisée et son groove filtré richement orné de textures orchestrales enveloppantes. Un disque poignant!
mercredi 26 juin 2019
Ahmad Jamal - Ballades (Jazz Village/Pias)
Ahmad Jamal - Ballades (Jazz Village/Pias)
La légende du jazz américain Ahmad Jamal nous revient à 88 ans avec Ballades, une collection de 12 compositions envoûtantes qu'il dévoilera le 13 Septembre prochain et que les plus chanceux pourront découvrir en avant-première les 4 et 6 Juillet sur la scène de l'Auditorium de la Fondation Louis Vuitton à Paris.
Malgré quelques rares pièces interprétées en duo ("So Rare") et en quartet ("Kitty Cat", "Wind"), avec ses fidèles complices Herlin Riley à la batterie, James Cammack à la contrebasse et Manolo Badrena aux percussions, l'ensemble demeure bel et bien un album solo. L'amplitude des sonorités que le pianiste déploie, la magnificence de ses mélodies, la poésie, la fluidité et la délicatesse de son touché cristallin, comme sa maîtrise du temps et du silence y sont, comme toujours, sa marque de fabrique. Souvent comparé aux piliers Erroll Garner et Art Tatum, Ahmad cite souvent comme références absolues les œuvres de Ravel, Debussy et Gershwin. Improvisateur de génie influencé à ses débuts par Nat King Cole, il a systématiquement tracé ses propres sillons en marge des différentes postures que les jazzmen ont pu adopter au cours de ces 70 dernières années. Impressionnant par sa longévité et son dynamisme, ce monstre sacré, sage et imperturbable, est encore à la barre pour piloter les albums de la génération montante (Shahin Novrasli) et participer à des collaborations audacieuses (Abd Al Malik dans Marseille, son précédent opus paru en 2017)... Le temps ne semble pas avoir de prise sur lui, ou du moins à l'oreille, ça ne se voit pas!
"Because I Love You" est disponible à l'écoute ICI (Merci Accent Presse)
La légende du jazz américain Ahmad Jamal nous revient à 88 ans avec Ballades, une collection de 12 compositions envoûtantes qu'il dévoilera le 13 Septembre prochain et que les plus chanceux pourront découvrir en avant-première les 4 et 6 Juillet sur la scène de l'Auditorium de la Fondation Louis Vuitton à Paris.
Malgré quelques rares pièces interprétées en duo ("So Rare") et en quartet ("Kitty Cat", "Wind"), avec ses fidèles complices Herlin Riley à la batterie, James Cammack à la contrebasse et Manolo Badrena aux percussions, l'ensemble demeure bel et bien un album solo. L'amplitude des sonorités que le pianiste déploie, la magnificence de ses mélodies, la poésie, la fluidité et la délicatesse de son touché cristallin, comme sa maîtrise du temps et du silence y sont, comme toujours, sa marque de fabrique. Souvent comparé aux piliers Erroll Garner et Art Tatum, Ahmad cite souvent comme références absolues les œuvres de Ravel, Debussy et Gershwin. Improvisateur de génie influencé à ses débuts par Nat King Cole, il a systématiquement tracé ses propres sillons en marge des différentes postures que les jazzmen ont pu adopter au cours de ces 70 dernières années. Impressionnant par sa longévité et son dynamisme, ce monstre sacré, sage et imperturbable, est encore à la barre pour piloter les albums de la génération montante (Shahin Novrasli) et participer à des collaborations audacieuses (Abd Al Malik dans Marseille, son précédent opus paru en 2017)... Le temps ne semble pas avoir de prise sur lui, ou du moins à l'oreille, ça ne se voit pas!
"Because I Love You" est disponible à l'écoute ICI (Merci Accent Presse)
mardi 25 juin 2019
Fatbabs - Holidays (Big Scoop Records)
Fatbabs - Holidays (Big Scoop Records)
Le DJ/producteur rennais Fatbabs publiait le 14 Juin dernier chez Big Scoop Records son second EP baptisé Holidays, un recueil de 5 titres surpuissants à l'efficacité évidente, alignant des sonorités hip-hop bien sûr, mais pas que! En effet s'y croisent avec une énergie débordante de vibrations positives un tas d'influences allant du jazz au reggae en passant par le new jack swing ("Another Day"), la soul ("Keep On Rollin"), le funk ("Lalala"), la R&B ("No Matter (Fatbabs Remix)") et le trap ("Good Lord"). Les instrus impeccables du beatmaker offrent un écrin idéal aux flows de ses invités, venant poser sur des rythmiques fédératrices au groove chaud et accrocheur. Au nombre de 15, ce beau monde se succède ou partage et échange sur les mêmes prods avec brio. On y retrouve le complice normand Naâman, ainsi que les autres membres de sa garde rapprochée, Jahneration, Volodia ou encore Kenyon, mais aussi le tourangeaux Miscellaneous et le rappeur sétois Demi Portion. S'illustre également un MC venu d'outre Atlantique, l'excellent Johaz du groupe californien Dag Savage... Un casting de haut vol!
lundi 24 juin 2019
Bloom - Dièse 1 (CQFD/L'Autre Distribution)
Bloom - Dièse 1 (CQFD/L'Autre Distribution)
La musique, c'est souvent une histoire de rencontre, une rencontre entre des sons, des mots, des notes, des timbres et des personnalités qui fusionnent, se croisent, se complètent ou s'harmonisent... Le projet Bloom, piloté par les chanteuses Laurence Ilous et Mélina Tobiana illustre bien ce postulat. S'appuyant sur une section rythmique dépouillée et minimaliste menée par le contrebassiste Martin Cuimbellot et le percussionniste Nils Wekstein, les deux divas - désireuses d'enrichir leur tandem polyphonique - ont trouvé en la personne de Léa Castro une troisième voix idéale.
Le quintet, ainsi au complet, publie Dièse 1, premier album à paraître le 23 Août prochain sur CQFD. Interprétant des compositions personnelles vibrantes ("Shadows and Fog", "Make Me Dance" ou "Ezuz") et revisitant avec intensité des standards incontournables de la pop ("Shape Of My Heart", "Crazy"), du batuque cap-verdien ("Lapidu Na Bo"), du jazz ("Throw It Away") de l'afro samba ("Canto de Ossanha") et de la soul ("Won't Be Long"), Bloom séduit d'emblée, notamment grâce à des arrangements vocaux brillants, taillés sur mesure par un sixième complice, Antoine Delprat, pianiste et violoniste talentueux qui s'illustrait en 2016 auprès du Léa Castro 5tet (Roads).
La musique, c'est souvent une histoire de rencontre, une rencontre entre des sons, des mots, des notes, des timbres et des personnalités qui fusionnent, se croisent, se complètent ou s'harmonisent... Le projet Bloom, piloté par les chanteuses Laurence Ilous et Mélina Tobiana illustre bien ce postulat. S'appuyant sur une section rythmique dépouillée et minimaliste menée par le contrebassiste Martin Cuimbellot et le percussionniste Nils Wekstein, les deux divas - désireuses d'enrichir leur tandem polyphonique - ont trouvé en la personne de Léa Castro une troisième voix idéale.
Le quintet, ainsi au complet, publie Dièse 1, premier album à paraître le 23 Août prochain sur CQFD. Interprétant des compositions personnelles vibrantes ("Shadows and Fog", "Make Me Dance" ou "Ezuz") et revisitant avec intensité des standards incontournables de la pop ("Shape Of My Heart", "Crazy"), du batuque cap-verdien ("Lapidu Na Bo"), du jazz ("Throw It Away") de l'afro samba ("Canto de Ossanha") et de la soul ("Won't Be Long"), Bloom séduit d'emblée, notamment grâce à des arrangements vocaux brillants, taillés sur mesure par un sixième complice, Antoine Delprat, pianiste et violoniste talentueux qui s'illustrait en 2016 auprès du Léa Castro 5tet (Roads).
Los Wembler's de Iquitos - Visiòn Del Ayahusca (Barbès Records)
Los Wembler's de Iquitos - Visiòn Del Ayahusca (Barbès Records)
Les cinq frères Sanchez qui composent Los Wembler's, groupe pionnier de la cumbia amazonienne et de la chicha péruvienne dans les années 70, publieront le 28 Juin prochain via le label de Brooklyn Barbès Records leur nouvel opus baptisé Visiòn Del Ayahusca. Originaire de Iquitos, capitale amazonienne du Pérou, la formation mythique, en sommeil depuis 25 ans, se reforme enfin, livrant à nouveau, cette fois-ci depuis Lima, les sonorités psychédéliques tirées des entrailles de la jungle, inspirées des folklores locaux tels que la pandilla, le carimbó et bien sûr la cumbia...
Les cinq frères Sanchez qui composent Los Wembler's, groupe pionnier de la cumbia amazonienne et de la chicha péruvienne dans les années 70, publieront le 28 Juin prochain via le label de Brooklyn Barbès Records leur nouvel opus baptisé Visiòn Del Ayahusca. Originaire de Iquitos, capitale amazonienne du Pérou, la formation mythique, en sommeil depuis 25 ans, se reforme enfin, livrant à nouveau, cette fois-ci depuis Lima, les sonorités psychédéliques tirées des entrailles de la jungle, inspirées des folklores locaux tels que la pandilla, le carimbó et bien sûr la cumbia...
Kaori - À Ciel Ouvert (Socadisc)
Kaori - À Ciel Ouvert (Socadisc)
Le tandem originaire de Nouvelle Calédonie Kaori publiait en Mars dernier À Ciel Ouvert, nouvel opus succédant à son premier Aux Îles Fortunées paru en 2016. Produit par Lionel Gaillardin (Benjamin Biolay, Didier Wampas ou encore Keren Ann) et enregistré à Bonsai Studio, le disque relie habilement les folklores calédoniens au reggae ("Les Hommes Vivent Debout"), la morna cap-verdienne ("Fleur de Vanille") au zouk guadeloupéen ("Une Terre Nouvelle"), le blues et le folk à la pop ("Cap'tain Yo", "Laisse-Moi Entrer") et le rock ("Ma Stratocaster Noire") à la bossa nova ("Impressions", "Café Noir")... Largement empreint des sonorités acoustiques envoûtantes et raffinées du duo de vétérans composé d'Alexis Diawari et Thierry Folcher (tous deux guitaristes confirmés), À Ciel Ouvert invite l'auditeur à découvrir un univers poétique tendre et exotique, ponctué de ballades ensoleillées et immersives. On se surprend parfois, au détour d'une des 11 chansons de l'album, à songer aux répertoires de Laurent Voulzy, Maxime Leforestier ou Bernard Lavillier...
Le tandem originaire de Nouvelle Calédonie Kaori publiait en Mars dernier À Ciel Ouvert, nouvel opus succédant à son premier Aux Îles Fortunées paru en 2016. Produit par Lionel Gaillardin (Benjamin Biolay, Didier Wampas ou encore Keren Ann) et enregistré à Bonsai Studio, le disque relie habilement les folklores calédoniens au reggae ("Les Hommes Vivent Debout"), la morna cap-verdienne ("Fleur de Vanille") au zouk guadeloupéen ("Une Terre Nouvelle"), le blues et le folk à la pop ("Cap'tain Yo", "Laisse-Moi Entrer") et le rock ("Ma Stratocaster Noire") à la bossa nova ("Impressions", "Café Noir")... Largement empreint des sonorités acoustiques envoûtantes et raffinées du duo de vétérans composé d'Alexis Diawari et Thierry Folcher (tous deux guitaristes confirmés), À Ciel Ouvert invite l'auditeur à découvrir un univers poétique tendre et exotique, ponctué de ballades ensoleillées et immersives. On se surprend parfois, au détour d'une des 11 chansons de l'album, à songer aux répertoires de Laurent Voulzy, Maxime Leforestier ou Bernard Lavillier...
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