Le trio de Manchester GoGo Penguin publiait le 12 Juin dernier son sixième effort au titre éponyme. Troisième album paraissant sur le prestigieux label Blue Note, il succède à l'excellent Ocean In A Drop: Music For Film paru en Octobre 2019 pour accompagner le célèbre documentaire Koyaanisqatsi de Godfrey Reggio. Ce dernier illustrait comme à l'accoutumé l'inventivité et la signature sonore devenue incontournable du groupe britannique, formé par le pianiste Chris Illingworth, le batteur Rob Turner et le contrebassiste Nick Blacka. Nos 3 larrons, qui dépoussièrent la sainte trinité piano-basse-batterie, croisent sans vergogne le jazz, le rock, l'électro et la musique minimaliste, se jouant ainsi des étiquettes et des conventions. Avec ce disque et les 10 compositions enivrantes qu'il aligne, GoGo Penguin pense avoir enfin trouvé les tonalités, la coloration et les vibrations qu'il cherche à exprimer depuis ses premières expérimentations en 2012. Accessible et envoûtante, sa musique ne nécessite aucun préambule ni prérequis, elle touche d'emblée avec ses harmonies hypnotiques et ses motifs répétitifs entêtants. Tantôt frénétiques et tantôt planantes, les ambiances quasi-cinématographiques de l'opus nous invitent à déambuler dans un espace hybride où sonorités organiques et trames synthétiques s'entremêlent inlassablement.
"MUSIC CREATES ORDER OUT OF CHAOS" (Yehudi Menuhin) hiko.events@gmail.com www.mixcloud.com/hikoevents
jeudi 25 juin 2020
GoGo Penguin - GoGo Penguin (Blue Note)
GoGo Penguin - GoGo Penguin (Blue Note)
Le trio de Manchester GoGo Penguin publiait le 12 Juin dernier son sixième effort au titre éponyme. Troisième album paraissant sur le prestigieux label Blue Note, il succède à l'excellent Ocean In A Drop: Music For Film paru en Octobre 2019 pour accompagner le célèbre documentaire Koyaanisqatsi de Godfrey Reggio. Ce dernier illustrait comme à l'accoutumé l'inventivité et la signature sonore devenue incontournable du groupe britannique, formé par le pianiste Chris Illingworth, le batteur Rob Turner et le contrebassiste Nick Blacka. Nos 3 larrons, qui dépoussièrent la sainte trinité piano-basse-batterie, croisent sans vergogne le jazz, le rock, l'électro et la musique minimaliste, se jouant ainsi des étiquettes et des conventions. Avec ce disque et les 10 compositions enivrantes qu'il aligne, GoGo Penguin pense avoir enfin trouvé les tonalités, la coloration et les vibrations qu'il cherche à exprimer depuis ses premières expérimentations en 2012. Accessible et envoûtante, sa musique ne nécessite aucun préambule ni prérequis, elle touche d'emblée avec ses harmonies hypnotiques et ses motifs répétitifs entêtants. Tantôt frénétiques et tantôt planantes, les ambiances quasi-cinématographiques de l'opus nous invitent à déambuler dans un espace hybride où sonorités organiques et trames synthétiques s'entremêlent inlassablement.
Le trio de Manchester GoGo Penguin publiait le 12 Juin dernier son sixième effort au titre éponyme. Troisième album paraissant sur le prestigieux label Blue Note, il succède à l'excellent Ocean In A Drop: Music For Film paru en Octobre 2019 pour accompagner le célèbre documentaire Koyaanisqatsi de Godfrey Reggio. Ce dernier illustrait comme à l'accoutumé l'inventivité et la signature sonore devenue incontournable du groupe britannique, formé par le pianiste Chris Illingworth, le batteur Rob Turner et le contrebassiste Nick Blacka. Nos 3 larrons, qui dépoussièrent la sainte trinité piano-basse-batterie, croisent sans vergogne le jazz, le rock, l'électro et la musique minimaliste, se jouant ainsi des étiquettes et des conventions. Avec ce disque et les 10 compositions enivrantes qu'il aligne, GoGo Penguin pense avoir enfin trouvé les tonalités, la coloration et les vibrations qu'il cherche à exprimer depuis ses premières expérimentations en 2012. Accessible et envoûtante, sa musique ne nécessite aucun préambule ni prérequis, elle touche d'emblée avec ses harmonies hypnotiques et ses motifs répétitifs entêtants. Tantôt frénétiques et tantôt planantes, les ambiances quasi-cinématographiques de l'opus nous invitent à déambuler dans un espace hybride où sonorités organiques et trames synthétiques s'entremêlent inlassablement.
mardi 23 juin 2020
Blanche - Empire (Pias)
Blanche - Empire (Pias)
La jeune chanteuse belge Ellie Delvaux alias Blanche nous offrait le 29 Mai dernier son premier opus baptisé Empire, recueil de 13 chansons pop aux sonorités électroniques envoûtantes, empreintes d'intensité ("Empire"), de mélancolie ("Soon") et de fragilité ("Only You"). Enrichi par l'expertise des cadors Rich Cooper (Banks, Mystery Jets, Lucy Rose) et François Gustin (Girls In Hawaii), l'univers musical de Blanche nous fait songer à celui de la suissesse Fèche Love - qui nous offrait il y a quelques mois son magnifique Naga Part.1 - et de la star néo-zélandaise Lorde. Entre autre influencée par l'australien Ry X et les anglais d'Alt-J, Blanche a su s'émanciper pour bâtir - après sa participation remarquée à l'Eurovision 2017 avec le titre "City Lights" - un son singulier et gorgé d'émotions, dont la part d'ombre est traversée par quelques rayons de soleil délicats aux vibrations bienfaitrices.
La jeune chanteuse belge Ellie Delvaux alias Blanche nous offrait le 29 Mai dernier son premier opus baptisé Empire, recueil de 13 chansons pop aux sonorités électroniques envoûtantes, empreintes d'intensité ("Empire"), de mélancolie ("Soon") et de fragilité ("Only You"). Enrichi par l'expertise des cadors Rich Cooper (Banks, Mystery Jets, Lucy Rose) et François Gustin (Girls In Hawaii), l'univers musical de Blanche nous fait songer à celui de la suissesse Fèche Love - qui nous offrait il y a quelques mois son magnifique Naga Part.1 - et de la star néo-zélandaise Lorde. Entre autre influencée par l'australien Ry X et les anglais d'Alt-J, Blanche a su s'émanciper pour bâtir - après sa participation remarquée à l'Eurovision 2017 avec le titre "City Lights" - un son singulier et gorgé d'émotions, dont la part d'ombre est traversée par quelques rayons de soleil délicats aux vibrations bienfaitrices.
jeudi 18 juin 2020
Blundetto - Good Good Things (Heavenly Sweetness)
Blundetto - Good Good Things (Heavenly Sweetness)
Le trop rare Max Guiguet alias Blundetto nous revient avec l'immersif Good Good Things, nouvel opus aux saveurs latines, caribéennes et afro soul, qui débarque dans nos bacs 10 ans après le mythique Bad Bad Things. Produit par l'incontournable Black Joy, avec qui il formait au milieu des années 2000 l'excellent tandem Vista Le Vie, l'album est un remède miracle à la pandémie de sinistrose qui nous frappe actuellement. Les ambiances analogiques et organiques tissées par le maître d'oeuvre et ses précieux collaborateurs (Hindi Zahra, General Elektriks, Chico Mann, Biga Ranx, Crime Apple ou encore Leonardo Marques) invitent à l'évasion, à l'échappée vers un ailleurs paisible aux paysages tropicaux luxuriants. Influences reggae/dub, éthio jazz ou hip-hop, sonorités cubaines et brésiliennes, s’alignent délicieusement, affichant cette nonchalance élégante et hypnotique que l'on envie tant aux pays du sud. Les arrangements vibrants et envoûtants de Clément Petit, qui orchestre cordes et cuivres, participent pleinement aux tendres colorations estivales de cette bande-son taillée sur mesure pour tout amateur de groove, se refusant à quitter la douceur et la sécurité de son petit nid douillé.
Le trop rare Max Guiguet alias Blundetto nous revient avec l'immersif Good Good Things, nouvel opus aux saveurs latines, caribéennes et afro soul, qui débarque dans nos bacs 10 ans après le mythique Bad Bad Things. Produit par l'incontournable Black Joy, avec qui il formait au milieu des années 2000 l'excellent tandem Vista Le Vie, l'album est un remède miracle à la pandémie de sinistrose qui nous frappe actuellement. Les ambiances analogiques et organiques tissées par le maître d'oeuvre et ses précieux collaborateurs (Hindi Zahra, General Elektriks, Chico Mann, Biga Ranx, Crime Apple ou encore Leonardo Marques) invitent à l'évasion, à l'échappée vers un ailleurs paisible aux paysages tropicaux luxuriants. Influences reggae/dub, éthio jazz ou hip-hop, sonorités cubaines et brésiliennes, s’alignent délicieusement, affichant cette nonchalance élégante et hypnotique que l'on envie tant aux pays du sud. Les arrangements vibrants et envoûtants de Clément Petit, qui orchestre cordes et cuivres, participent pleinement aux tendres colorations estivales de cette bande-son taillée sur mesure pour tout amateur de groove, se refusant à quitter la douceur et la sécurité de son petit nid douillé.
mercredi 3 juin 2020
Bebel Gilberto - Agora (Pias)
Bebel Gilberto - Agora (Pias)
La diva brésilienne Bebel Gilberto, devenue l'une des figures emblématiques de la scène bossa nova électronique depuis la sortie en 2000 de son fameux Tanto Tempo, publiera le 21 août prochain via Pias son nouvel opus baptisé Agora. Produit par son complice de longue date, le pianiste Thomas Bartlett (Sufjan Stevans, The National, David Byrne, Martha Wainwright...), l'album fait suite à Tudo paru il y a 6 six ans et clôt un chapitre douloureux dans la vie de l'artiste, endeuillée coup sur coup par les décès de sa mère Miucha et de son père João Gilberto. Le disque rassemble 11 compositions entêtantes et gorgées d'émotions, toutes marquées à leur façon par le spectre de ses illustres parents disparus. Les orchestrations raffinées et luxuriantes, plus électroniques que jamais, immergent l'auditeur dans un espace où les lois de la gravité n'ont plus cours. Ces dernières sont autant d'écrins finement ciselés, recueillant la voix sensuelle et le timbre envoûtant si langoureux de la chanteuse new-yorkaise. Le 03 Mars, un premier extrait nommé "Deixa" et plus récemment le second single intitulé "Bolero" nous mettaient l'eau à la bouche, il ne reste maintenant plus que quelques semaines à patienter pour étancher notre soif de vibrations chill do Brasil.
La diva brésilienne Bebel Gilberto, devenue l'une des figures emblématiques de la scène bossa nova électronique depuis la sortie en 2000 de son fameux Tanto Tempo, publiera le 21 août prochain via Pias son nouvel opus baptisé Agora. Produit par son complice de longue date, le pianiste Thomas Bartlett (Sufjan Stevans, The National, David Byrne, Martha Wainwright...), l'album fait suite à Tudo paru il y a 6 six ans et clôt un chapitre douloureux dans la vie de l'artiste, endeuillée coup sur coup par les décès de sa mère Miucha et de son père João Gilberto. Le disque rassemble 11 compositions entêtantes et gorgées d'émotions, toutes marquées à leur façon par le spectre de ses illustres parents disparus. Les orchestrations raffinées et luxuriantes, plus électroniques que jamais, immergent l'auditeur dans un espace où les lois de la gravité n'ont plus cours. Ces dernières sont autant d'écrins finement ciselés, recueillant la voix sensuelle et le timbre envoûtant si langoureux de la chanteuse new-yorkaise. Le 03 Mars, un premier extrait nommé "Deixa" et plus récemment le second single intitulé "Bolero" nous mettaient l'eau à la bouche, il ne reste maintenant plus que quelques semaines à patienter pour étancher notre soif de vibrations chill do Brasil.
vendredi 29 mai 2020
Modern Nature - Annual (Bella Union/Pias)
Modern Nature - Annual (Bella Union/Pias)
Libellés :
Alternative,
Bella Union,
Folk,
Indie,
Jazzy,
Pias,
Rock
mercredi 27 mai 2020
French 79 - Joshua (Alter K/Pschent)
French 79 - Joshua (Alter K/Pschent)
lundi 25 mai 2020
Captain Planet - No Visa (Bastard Jazz Recordings)
Captain Planet - No Visa (Bastard Jazz Recordings)
Le Dj/producteur californien basé à L.A. Charlie Wilder alias Captain Planet publiera le 26 Juin prochain sur Bastard Jazz Recordings son cinquième opus baptisé No Visa, un envoûtant cocktail de sonorités world aux vibrations électroniques dansantes et estivales. Avec ses 13 pépites et presque autant d'invités prestigieux issus des scènes musicales du monde entier, le disque nous immerge dans un melting pot culturel captivant, où les traditions afro-cubaines, congolaises, jamaïcaines, afro-brésiliennes, moyen-orientales et est-africaines résonnent sur des rythmiques urbaines fédératrices. Ambiances dancehall, afro house, hip-hop, funk carioca ou encore electronic soukouss se succèdent donc, dans un sublime écrin aux couleurs caribéennes et aux pulsations afro!
Le Dj/producteur californien basé à L.A. Charlie Wilder alias Captain Planet publiera le 26 Juin prochain sur Bastard Jazz Recordings son cinquième opus baptisé No Visa, un envoûtant cocktail de sonorités world aux vibrations électroniques dansantes et estivales. Avec ses 13 pépites et presque autant d'invités prestigieux issus des scènes musicales du monde entier, le disque nous immerge dans un melting pot culturel captivant, où les traditions afro-cubaines, congolaises, jamaïcaines, afro-brésiliennes, moyen-orientales et est-africaines résonnent sur des rythmiques urbaines fédératrices. Ambiances dancehall, afro house, hip-hop, funk carioca ou encore electronic soukouss se succèdent donc, dans un sublime écrin aux couleurs caribéennes et aux pulsations afro!
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