Modern Nature - Annual (Bella Union/Pias)
"MUSIC CREATES ORDER OUT OF CHAOS" (Yehudi Menuhin) hiko.events@gmail.com www.mixcloud.com/hikoevents
Affichage des articles dont le libellé est Alternative. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Alternative. Afficher tous les articles
vendredi 29 mai 2020
Modern Nature - Annual (Bella Union/Pias)
Libellés :
Alternative,
Bella Union,
Folk,
Indie,
Jazzy,
Pias,
Rock
mardi 9 janvier 2018
Yuma - Ghbar Njoum (Poussière d'étoiles) (Innacor Records/L'Autre Distribution)
Yuma - Ghbar Njoum (Poussière d'étoiles) (Innacor Records/L'Autre Distribution)
Yuma, acteur incontournable de la nouvelle scène alternative tunisienne nous revient avec Ghbar Njoum (Poussière d'étoiles), un second opus aux ambiances indie-folk poétiques et accrocheuses. Le duo y déploie une soul acoustique intimiste, naviguant au carrefour d'influences diverses, allant du blues touareg aux sonorités néo-arabes actuelles, en passant bien sûr par les folklores traditionnels du pourtour méditerranéens.
Formé par la plasticienne et peintre Sabrine Jenhani (chant et compositions) et le cinéaste/musicien autodidacte Ramy Zoghlami (chant, guitare et compositions), Yuma s'est ici adjoint les services d'Antonin Volson et quelques autres instrumentistes bretons (percussions, contrebasse, violoncelle et alto), leur présence participer à l'ouverture du disque vers un univers singulier fait de fables et d'adages, habité de figures allégoriques, gorgé de mysticisme et de sorcellerie, de métaphores et de personnifications. De cette fusion habile et délicate qui s'opère ainsi entre la transmission orale d'antan et les formes musicales contemporaines, surgit un disque crépusculaire et minimaliste, animé par des mélodies envoutantes et curatives...
Très belle découverte!
Yuma, acteur incontournable de la nouvelle scène alternative tunisienne nous revient avec Ghbar Njoum (Poussière d'étoiles), un second opus aux ambiances indie-folk poétiques et accrocheuses. Le duo y déploie une soul acoustique intimiste, naviguant au carrefour d'influences diverses, allant du blues touareg aux sonorités néo-arabes actuelles, en passant bien sûr par les folklores traditionnels du pourtour méditerranéens.
Formé par la plasticienne et peintre Sabrine Jenhani (chant et compositions) et le cinéaste/musicien autodidacte Ramy Zoghlami (chant, guitare et compositions), Yuma s'est ici adjoint les services d'Antonin Volson et quelques autres instrumentistes bretons (percussions, contrebasse, violoncelle et alto), leur présence participer à l'ouverture du disque vers un univers singulier fait de fables et d'adages, habité de figures allégoriques, gorgé de mysticisme et de sorcellerie, de métaphores et de personnifications. De cette fusion habile et délicate qui s'opère ainsi entre la transmission orale d'antan et les formes musicales contemporaines, surgit un disque crépusculaire et minimaliste, animé par des mélodies envoutantes et curatives...
Très belle découverte!
jeudi 3 août 2017
King Child - Meredith (Pieuvre/Inouie Distribution)
King Child - Meredith (Pieuvre/Inouie Distribution)
La formation franco-belge King Child nous propose un premier opus aux sonorités indie-pop abouties et léchées, baptisé Meredith. Très habilement mené par le compositeur/multi-instrumentiste Jean Prat et le chanteur Quentin Hoogaert, le projet aux allures d'odyssée spirituelle épique et captivante, prend forme entre Bruxelles et la région lyonnaise, au fil de sessions d'enregistrements et de prestations live où il s'enrichie des apports musicaux précieux des talentueux Camille Mouton (claviers), David Kostman (basse et claviers) et Filip Bolten (guitare et claviers). Habités de nappes électroniques cosmiques, d'atmosphères tantôt sombres et épurées, tantôt radieuses et punchy, les 11 titres du disque embarquent l'auditeur pour un voyage interstellaire, où d'envoutantes mélodies pop soutenues par des rythmiques d'une grande justesse, élaborent les contours voluptueux d'une musique mélancolique et planante, semée de références à des entités mythologiques telles que Radiohead, Bjork et Quenns of The Stone Adge ou encore Stanley Kubrick et Jim Jarmusch.
Bien que l'on puisse évoquer l'image d'un "vaisseau spatial" pour décrire Meredith, de par ses envolées lyriques flottant en apesanteur, son écriture est, elle, bien ancrée dans le réel, avec des messages forts et engagés comme en témoigne le poignant "23 Février", abordant le douloureux thème des violences conjugales.
L'album paraîtra le 29 Septembre prochain et l'image de sa pochette dessinée par Grégoire Dalle vous indiquera le chemin à suivre pour pénétrer son univers complexe, audacieux et flamboyant.
lundi 13 juin 2016
Palace Winter - Waiting For The World To Turn (Tambourhinoceros)
Palace
Winter - Waiting For The World To Turn (Tambourhinoceros)
Basé à Copenhague, le duo electro-pop Palace Winter nous adresse son premier long format intitulé Waiting For The World To Turn, qui succède
au retentissant EP Medication paru
l'an passé et porté par un second single
"Menton"
chaleureusement accueilli. Composé de l'auteur/chanteur/guitariste australien Carl Coleman et du producteur/pianiste danois
Caspar Hesselager, le groupe se forme
en 2013 autour d'un gout commun pour les ambiances
cinématiques combinant synth-pop, americana et
krautrock. Bien qu'ayant un background totalement différent
(formation classique, jazz et électro pour l'un
et country, folk, blues, rock pour l'autre)
les deux musiciens se complètent artistiquement et techniquement, ils se
retrouvent à travers un mix hypnotique
de sonorités acoustiques et électriques, organiques et électroniques où les
claviers, les guitares, les programmes et la batterie du troisième homme, Christian Rindorf, captent l'attention
de l'auditeur pour ne plus la relâcher! Waiting
For The World To Turn alterne les mélodies radieuses et sombres, les
rythmiques lentes et soutenues dans une atmosphère
aux reflets 80's plutôt bien venue. Ce n'est d'ailleurs pas pour rien que
certains rapprochent l'univers de Palace
Winter de celui des pionniers américains du rock alternatif, R.E.M.
mardi 22 mars 2016
Gazebos - Die Alone (Hardly Art/Pias)
Gazebos - Die
Alone (Hardly Art/Pias)
Emanation du label Sub
Pop, qui signait à leurs débuts des groupes emblématiques comme Nirvana,
Soundgarden et autres acteurs de l'effervescente scène rock alternative de
Seattle, Hardly Art nous présente
une nouvelle formation aux sonorités prog
punk nommée Gazebos. Le quatuor indie rock et tape-l'oeil, composé de
la chanteuse ultra tatouée Shannon Perry,
du guitariste TV Coharan, du
bassiste Shane Herrell et du batteur
Jordan Y. Adams, décrit lui-même sa
musique de "whoa pop". Il publie
son premier opus intitulé Die Alone qui
rassemble les compos, démos et sensibilités de chacun des membres, retravaillées,
captées et enregistrées à l'ancienne chez TV
par Kurt Block (Fastbacks) sur un Tascam
8 pistes à cassette. Ce patchwork de
9 titres est un joyeux bordel aux ambiances surf rock, art rock et post punk aux relents 80's.
Libellés :
Alternative,
Hardly Art,
Indie,
Pias,
Pop,
Punk,
Rock,
Surf Rock
Tacocat – Lost Time (Hardly Art Records/Pias)
Tacocat –
Lost Time (Hardly Art Records/Pias)
La bande de girls
pétillantes originaires de Seattle et formant depuis 2007 le quatuor Tacocat, présente son troisième opus intitulé Lost Time. Alternant les sonorités
pop, punk, surf-rock et shoegaze, le groupe aux textes engagés et décalés, mais qui
refuse pourtant tout étiquetage féministe, nous offre grâce à la production d'Erik Blood (Shabazz Palace) un son frais et tonique, un brin enragé
mais surtout fun et estival. Eric Randal,
unique paire de *** de la formation, impose ses riffs et ses rythmiques musclées
à la guitare entouré des fougueuses Bree
McKenna à la basse, Emily Nokes
au chant et Lelah Maupin à la
batterie. Leur premier single "I
Hate The Weekend" donne le ton avec son instrumentation accrocheuse, rappelant que si pour les uns, la fin
de semaine est un moment de relâche et de défoulement, elle ne l'est pas pour d'autres
qui bossent comme à l'accoutumé…
Libellés :
Alternative,
Hardly Art,
Pias,
Pop,
Punk,
Rock
vendredi 17 octobre 2014
Monogrenade – Composite (Atmosphériques)
Monogrenade – Composite (Atmosphériques)
Si l’on devait définir la musique du groupe montréalais Monogrenade, un mot viendrait à
l’esprit et c’est d’ailleurs le titre de leur deuxième opus, Composite.
En effet la formation
électro-pop parvient à déployer, malgré l’usage exclusif du français, une
force mélodique unique. Utilisant des synthés et boîtes à rythmes vintage
alliés à une basse polymorphe (François
Lessard) et une batterie tranchante (Mathieu
Colette), Jean Michel Pigeon et
ses musiciens nous livrent 10 chansons
somptueuses, hypnotiques et énergiques, piochant leurs influences dans le rock indé (Labyrinth) et le folk-pop-alternatif
(J’attends), tout en s’élevant par
moment vers un rock planant voire
cosmique auquel s’ajoute les
arrangements de cordes raffinés et majestueux de Marianne Houle, Ingrid
Wissink et Julie Boivin (Composite, Phaéton, Le Fantôme). La voix suave et brumeuse du leader, claviériste
et guitariste, nous raconte la complexité de l’homme et de ses rapports avec
autrui (L’aimant) et son
environnement (Metropolis).
Composite est
plus rythmé et plus théâtrale que leur précédent Tantale, il explore différents univers musicaux et croise les sonorités électroniques, électriques et
acoustiques sur des mélodies pop
fraîches et entraînantes (Cercles et
Pentagones, Tes Yeux).
vendredi 1 août 2014
Dead Combo – A Bunch Of Meninos (Dead & Company/Universal)
Dead Combo –
A Bunch Of Meninos (Dead & Company/Universal)
Le duo Dead Combo,
formé des guitaristes portugais Tò Trips
et Pedro Gonçalves, nous présente
son nouvel opus instrumental intitulé A
Bunch Of Meninos. Réinventant le fado
en l’enrichissant d’éléments caribéens, sud-américains, de blues et de rock’n’roll,
Dead Combo nous propose une musique folk alternative brutale et racée, aux
ambiances cinématographiques. Revêtant tour à tour des dehors de ballades
mélancoliques avec les accents classiques de Zoe Llorando, de chevauchées infernales rock avec A Bunch Of Meninos ou encore d’instants
suspendus en clair obscurs avec Miudas e
Motas, on pense inévitablement aux univers décalés et surréalistes de
Tarantino et de Tim Burton. Un album qui confirme le succès international rencontré
en 2012 avec la parution de leur précédent Lisboa Mulata !
Inscription à :
Articles (Atom)