Mené par le trompettiste Hippolyte Fevre, la formation parisienne Nola French Connection Brass Band rend hommage à la tradition des ensembles cuivrés de la Nouvelle Orléans, à leur musique festive et fédératrice puisant ses influences dans le jazz new orleans bien sûr, mais aussi dans le hip-hop, la soul et le funk. Épaulé par Gabriel Levasseur, un second trompettiste, deux trombonistes, Nicolas Benedetti et Michaël Ballue, le saxophoniste Bastien Weeger, le soubassophoniste Rémi Cretal et les batteurs/percussionnistes Johan Barrer, Florent Berteau et Tao Ehrlich, le compositeur part à l’assaut du public, des rues et des clubs, avec dans son escarcelle du bonheur à partager. Avec son équipe de joyeux drilles, et comme ses compatriotes du Surnatural Orchestra, il est l'héritiers des monstres sacrés du genre, que sont les Hot 8 Brass Band, Dirty Dozen Brass Band et autres Soul Rebels...
"MUSIC CREATES ORDER OUT OF CHAOS" (Yehudi Menuhin) hiko.events@gmail.com www.mixcloud.com/hikoevents
vendredi 12 octobre 2018
Nola French Connection Brass Band - Nola French Connection Brass Band (Fo Feo Productions)
Nola French Connection Brass Band - Nola French Connection Brass Band (Fo Feo Productions)
Mené par le trompettiste Hippolyte Fevre, la formation parisienne Nola French Connection Brass Band rend hommage à la tradition des ensembles cuivrés de la Nouvelle Orléans, à leur musique festive et fédératrice puisant ses influences dans le jazz new orleans bien sûr, mais aussi dans le hip-hop, la soul et le funk. Épaulé par Gabriel Levasseur, un second trompettiste, deux trombonistes, Nicolas Benedetti et Michaël Ballue, le saxophoniste Bastien Weeger, le soubassophoniste Rémi Cretal et les batteurs/percussionnistes Johan Barrer, Florent Berteau et Tao Ehrlich, le compositeur part à l’assaut du public, des rues et des clubs, avec dans son escarcelle du bonheur à partager. Avec son équipe de joyeux drilles, et comme ses compatriotes du Surnatural Orchestra, il est l'héritiers des monstres sacrés du genre, que sont les Hot 8 Brass Band, Dirty Dozen Brass Band et autres Soul Rebels...
Mené par le trompettiste Hippolyte Fevre, la formation parisienne Nola French Connection Brass Band rend hommage à la tradition des ensembles cuivrés de la Nouvelle Orléans, à leur musique festive et fédératrice puisant ses influences dans le jazz new orleans bien sûr, mais aussi dans le hip-hop, la soul et le funk. Épaulé par Gabriel Levasseur, un second trompettiste, deux trombonistes, Nicolas Benedetti et Michaël Ballue, le saxophoniste Bastien Weeger, le soubassophoniste Rémi Cretal et les batteurs/percussionnistes Johan Barrer, Florent Berteau et Tao Ehrlich, le compositeur part à l’assaut du public, des rues et des clubs, avec dans son escarcelle du bonheur à partager. Avec son équipe de joyeux drilles, et comme ses compatriotes du Surnatural Orchestra, il est l'héritiers des monstres sacrés du genre, que sont les Hot 8 Brass Band, Dirty Dozen Brass Band et autres Soul Rebels...
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Christophe Imbs - For Your Own Good! (Label OH!/Inouïe Distribution)
Christophe Imbs - For Your Own Good! (Label OH!/Inouïe Distribution)
Le pianiste strasbourgeois Christophe Imbs nous présente, via le label indépendant OH!, le premier opus de son trio composé de la batteuse parisienne Anne Paceo et du contrebassiste italien Matteo Bortone. Œuvrant à faire voler en éclat les figures imposées du trio jazz, le compositeur aime bousculer les codes ainsi que surprendre l'auditeur. Il torture et maltraite les sonorités acoustiques de son instrument en l'électrifiant. Distorsion, réverbération, saturation et écho habillent ainsi un jeu inspiré, mêlant sophistication jazz, énergie rock et efficacité pop. Dans cette aventure singulière poussant le niveau des vu-mètres jusque dans le rouge ("Foryourowngood!", "Stabilo", "Shark", "Music By", "Tuesday", "Sveta" et "Memoriam"), la formation nous offre tout de même quelques instants suspendus, de subtiles ballades pleines de tendresse, de romantisme et de sensibilité ("Parturition", "Arp"), parmi lesquelles résonne le vibrant "Soul Eyes" de Mal Waldron.
Le pianiste strasbourgeois Christophe Imbs nous présente, via le label indépendant OH!, le premier opus de son trio composé de la batteuse parisienne Anne Paceo et du contrebassiste italien Matteo Bortone. Œuvrant à faire voler en éclat les figures imposées du trio jazz, le compositeur aime bousculer les codes ainsi que surprendre l'auditeur. Il torture et maltraite les sonorités acoustiques de son instrument en l'électrifiant. Distorsion, réverbération, saturation et écho habillent ainsi un jeu inspiré, mêlant sophistication jazz, énergie rock et efficacité pop. Dans cette aventure singulière poussant le niveau des vu-mètres jusque dans le rouge ("Foryourowngood!", "Stabilo", "Shark", "Music By", "Tuesday", "Sveta" et "Memoriam"), la formation nous offre tout de même quelques instants suspendus, de subtiles ballades pleines de tendresse, de romantisme et de sensibilité ("Parturition", "Arp"), parmi lesquelles résonne le vibrant "Soul Eyes" de Mal Waldron.
jeudi 11 octobre 2018
Jacques Schwarz-Bart, Stéphane Galland, Malcolm Braff, Laurent David - Shijin (Alter-nativ/Socadisc)
Jacques Schwarz-Bart, Stéphane Galland, Malcolm Braff, Laurent David - Shijin (Alter-nativ/Socadisc)
Formé par quatre immenses musiciens aux CVs bien remplis, le projet Shijin concentre avec brio l'esprit fusion d'un jazz rock musclé et inspiré, empreint d'influences afro, latines et caribéennes. Résolument contemporain, Shijin rapproche les cultures en combinant les traditions, les mythes et les folklores. Ce quartet d'exception se compose d'un casting de haut vol, s'y côtoient le vénérable Jacques Schwarz-Bart aux saxophones, le boss du label Alter-nativ, Laurent David à la basse, le brésilien-magicien Malcolm Braff aux claviers et le polyvalent Stéphane Galland à la batterie. Il délivre une esthétique musicale forte, cohérente, exigeante et fédératrice, flirtant avec un tas d'influences d'ici et d'ailleurs, d'hier et d'aujourd'hui...
Formé par quatre immenses musiciens aux CVs bien remplis, le projet Shijin concentre avec brio l'esprit fusion d'un jazz rock musclé et inspiré, empreint d'influences afro, latines et caribéennes. Résolument contemporain, Shijin rapproche les cultures en combinant les traditions, les mythes et les folklores. Ce quartet d'exception se compose d'un casting de haut vol, s'y côtoient le vénérable Jacques Schwarz-Bart aux saxophones, le boss du label Alter-nativ, Laurent David à la basse, le brésilien-magicien Malcolm Braff aux claviers et le polyvalent Stéphane Galland à la batterie. Il délivre une esthétique musicale forte, cohérente, exigeante et fédératrice, flirtant avec un tas d'influences d'ici et d'ailleurs, d'hier et d'aujourd'hui...
La&Ca - Se Souvenir des Belles Choses (Inouïe Distribution)
La&Ca - Se Souvenir des Belles Choses (Inouïe Distribution)
Le batteur carioca Zaza Desiderio, compagnon de route de l'accordéoniste Frédéric Viale, épaulé par la violoncelliste Audrey Podrini, le pianiste Camille Thouvenot et le clarinettiste Vincent Perrier composent le projet franco-brésilien initié en 2012, La&Ca (La bas et Ici en portugais). Délivrant une musique orchestrale envoûtante, combinant jazz, folklores et musique classique, l'ensemble virtuose nous offre un premier opus baptisé Se Souvenir des Belles Choses, recueil attachant et poétique composé de 11 thèmes somptueux et raffinés, où planent une douce mélancolie et une étrange nostalgie. Rythmiques urbaines, ambiances électrisantes aux sonorités rock, mélodies chatoyantes aux accents si familiers et réminiscences cinématographiques
s'entrelacent ainsi avec une rare intensité...
Le batteur carioca Zaza Desiderio, compagnon de route de l'accordéoniste Frédéric Viale, épaulé par la violoncelliste Audrey Podrini, le pianiste Camille Thouvenot et le clarinettiste Vincent Perrier composent le projet franco-brésilien initié en 2012, La&Ca (La bas et Ici en portugais). Délivrant une musique orchestrale envoûtante, combinant jazz, folklores et musique classique, l'ensemble virtuose nous offre un premier opus baptisé Se Souvenir des Belles Choses, recueil attachant et poétique composé de 11 thèmes somptueux et raffinés, où planent une douce mélancolie et une étrange nostalgie. Rythmiques urbaines, ambiances électrisantes aux sonorités rock, mélodies chatoyantes aux accents si familiers et réminiscences cinématographiques
s'entrelacent ainsi avec une rare intensité...
mardi 2 octobre 2018
Riccardo Del Fra - Moving People (Cristal Records/Sony Music Entertainment)
Riccardo Del Fra - Moving People (Cristal Records/Sony Music Entertainment)
Le monument de la contrebasse Riccardo
Del Fra, jazzman d'origine italienne installé à Paris depuis le début des
années 80, publiera le 19 Octobre prochain chez Cristal Records, Moving
People. Il succède à My Chet My Song, hommage à son mentor
le trompettiste Chet Baker, qu'il accompagna sur scène 9 ans
durant. Alignant exclusivement ses propres compositions, le directeur du
département Jazz et Musiques Improvisées au CNSMDP, s'est entouré d'un casting intergénérationnel et
international de haut vol. Lui qui, par le passé, s'est illustré avec les plus
grands, comme Johnny Griffin, Bob Brookmeyer, Dizzy
Gillespie, Art Blakey, Kenny Wheeler ou encore Lee Konitz,
a toujours su bien s'entourer. Il le prouve une fois de plus en s'affichant
avec les cadors américains Kurt Rosenwinkel à la guitare
et Jason Brown à la batterie, le saxophoniste allemand Jan
Pax, le trompettiste polonais Tomasz Dabrowski, ainsi que les
français Rémi
Fox au saxophone et Carl-Henri
Morisset au piano.
A l'image du déchirant "Ressac",
inspiré par la terrifiante image de l'enfant syrien échoué sur une plage de
Turquie, le jazz de Riccardo del Fra est ici, à la fois
puissant, jubilatoire, poignant et délicat, fait d'urgence
et d'apaisement. Il est emprunt de gravité et d'engagement, mais
aussi de douceur et de profondeur. Un
jazz résolument contemporain à l'esprit libre et audacieux, qui donne à voir autant
qu'à écouter.
Largement dédié à ceux qui laissent tout
derrière eux en quête d'une vie meilleure ("Moving People"), à ceux qui s'aventurent dans l'inconnu au
péril de leur vie ("The
Sea Behind") et notamment aux plus fragiles ("Children Walking (Through A Mainefield)"), le projet nous offre heureusement quelques
moments suspendus où le ciel semble s'éclaircir. Des instants volés où
légèreté, espoir et calme contemplatif ("Ephemeral Refractions", "Wind
On An Open Book II", "Cieli Serini"), se
troublent à peine lorsqu'un groove chaud, festif et bienveillant ("Street
Scenes") fait irruption.
lundi 1 octobre 2018
Everlast presents Whitey Ford's House Of Pain (Martyr-Inc/Long Branch Records/Modulor)
Everlast presents Whitey Ford's House Of Pain (Martyr-Inc/Long Branch Records/Modulor)
La légende du hip-hop US Erik Schrody alias Everlast, nous présente via son propre Martyr-Inc ainsi que sur le label rock Long Branch Records, son nouvel opus baptisé Whitey Ford's House Of Pain. Leader du collectif House of Pain auteur en 1992 du tube "Jump Around", le rappeur et chanteur à la voix rocailleuse poursuit ses incursions musicales crossover, où se mêlent dans une fusion redoutablement efficace, beats hip-hop, énergie rock, profondeur blues et guitares folk. Puisant son inspiration chez les légendes du rap hardcore telles que Run-D.M.C, Cypress Hill, Ice-T et Gang Starr, mais aussi parmi les figures tutélaires du folk et du rock telles que Johnny Cash, Bob Dylan, The Rolling Stones, Bruce Springsteen ou encore Neil Young, le quinquagénaire trace sa route, imposant respect et admiration.
Nous noterons dans ce 7ième album solo, qu'Everlast invite à sa table deux pointures du milieu, Aloe Blacc, qui dépose ses vocaux soulful dans le bluesy "Slow Your Roll", et Slug, qui impose dans l'émouvant "Oooohh (I Don't Need You)" son flow classieux...
La légende du hip-hop US Erik Schrody alias Everlast, nous présente via son propre Martyr-Inc ainsi que sur le label rock Long Branch Records, son nouvel opus baptisé Whitey Ford's House Of Pain. Leader du collectif House of Pain auteur en 1992 du tube "Jump Around", le rappeur et chanteur à la voix rocailleuse poursuit ses incursions musicales crossover, où se mêlent dans une fusion redoutablement efficace, beats hip-hop, énergie rock, profondeur blues et guitares folk. Puisant son inspiration chez les légendes du rap hardcore telles que Run-D.M.C, Cypress Hill, Ice-T et Gang Starr, mais aussi parmi les figures tutélaires du folk et du rock telles que Johnny Cash, Bob Dylan, The Rolling Stones, Bruce Springsteen ou encore Neil Young, le quinquagénaire trace sa route, imposant respect et admiration.
Nous noterons dans ce 7ième album solo, qu'Everlast invite à sa table deux pointures du milieu, Aloe Blacc, qui dépose ses vocaux soulful dans le bluesy "Slow Your Roll", et Slug, qui impose dans l'émouvant "Oooohh (I Don't Need You)" son flow classieux...
Laurent Fickelson - In The Street (Jazz Family/Socadisc)
Laurent Fickelson - In The Street (Jazz Family/Socadisc)
Le pianiste parisien Laurent Fickelson découvre le jazz sur le tard, à 22 ans, lorsqu'il écoute pour la première fois l'album We Want Miles, du second quintet de Miles Davis. Une claque musicale qui en précédera bien d'autres, de John Coltrane à Wayne Shorter, en passant par Billy Strayhorn, Duke Ellington, Joe Henderson, Thelonious Monk ou Yusef Lateef. Des influences classieuses et classiques pour un musicien-gardien du temple, qui s'efforce de jouer une musique sophistiquée et codifiée, certes, mais des plus vivantes et imprévisibles. Dans son dernier opus baptisé In The Street, où il aligne des reprises incontournables de ses idoles ("The Promise", "Edda" ou "'Round Midnight") et des compositions personnelles inspirées ("In The Street" ou "For Joe"), l'artiste s'est entouré d'un casting de poids lourds de la scène hexagonale. S'y côtoient en effet le contrebassiste Thomas Bramerie, le saxophoniste Eric Prost (qui signe d'ailleurs le titre "07") et le batteur Philippe Soirat. Tous trois sont des puncheurs expérimentés aux jeux de jambes élégants et à la maîtrise du swing édifiante!
Le pianiste parisien Laurent Fickelson découvre le jazz sur le tard, à 22 ans, lorsqu'il écoute pour la première fois l'album We Want Miles, du second quintet de Miles Davis. Une claque musicale qui en précédera bien d'autres, de John Coltrane à Wayne Shorter, en passant par Billy Strayhorn, Duke Ellington, Joe Henderson, Thelonious Monk ou Yusef Lateef. Des influences classieuses et classiques pour un musicien-gardien du temple, qui s'efforce de jouer une musique sophistiquée et codifiée, certes, mais des plus vivantes et imprévisibles. Dans son dernier opus baptisé In The Street, où il aligne des reprises incontournables de ses idoles ("The Promise", "Edda" ou "'Round Midnight") et des compositions personnelles inspirées ("In The Street" ou "For Joe"), l'artiste s'est entouré d'un casting de poids lourds de la scène hexagonale. S'y côtoient en effet le contrebassiste Thomas Bramerie, le saxophoniste Eric Prost (qui signe d'ailleurs le titre "07") et le batteur Philippe Soirat. Tous trois sont des puncheurs expérimentés aux jeux de jambes élégants et à la maîtrise du swing édifiante!
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