Formé par la chanteuse et MC Manon Cluzel - que l'on a croisé au sein du collectif lyonnais Supa Dupa sous l'alias Macy Lu - et par le guitariste multi-instrumentiste Benjamin Gouhier, le duo Uptown Lovers publiait le 4 Octobre dernier son premier opus baptisé By Your Side. Savoureux cocktail de sonorités jazzy, folk ("Ouverture", "Silence"), classique ("From Darkness to Light"), funk, R&B ou encore hip-hop ("Psycho"), le disque aux accents pop et aux textures acoustiques contagieuses, nous fait tour à tour songer aux ambiances nébuleuses de Meshell Ndégéocello ("Elisa"), à la soul déchirante d'Amy Winehouse ("In Love") ou au blues accrocheur de Tracy Chapman ("The End Of Story"), ne manquant pas d'inviter l'auditeur à se trémousser sur des compositions plus up-tempo, comme le langoureux "Be a Girl" et les plus explosifs"By Your Side" et "Dance". Le tendre "Still In Love", ballade soulful envoûtante, ravira les amateurs d'atmosphères musicales urbaines unplugged, où l'essentiel ne tient que dans quelques accords de guitare folk et un chant fragile gorgé d'émotion...
"MUSIC CREATES ORDER OUT OF CHAOS" (Yehudi Menuhin) hiko.events@gmail.com www.mixcloud.com/hikoevents
mardi 15 octobre 2019
Upown Lovers - By Your Side (Inouïe Distribution)
Upown Lovers - By Your Side (Inouïe Distribution)
Formé par la chanteuse et MC Manon Cluzel - que l'on a croisé au sein du collectif lyonnais Supa Dupa sous l'alias Macy Lu - et par le guitariste multi-instrumentiste Benjamin Gouhier, le duo Uptown Lovers publiait le 4 Octobre dernier son premier opus baptisé By Your Side. Savoureux cocktail de sonorités jazzy, folk ("Ouverture", "Silence"), classique ("From Darkness to Light"), funk, R&B ou encore hip-hop ("Psycho"), le disque aux accents pop et aux textures acoustiques contagieuses, nous fait tour à tour songer aux ambiances nébuleuses de Meshell Ndégéocello ("Elisa"), à la soul déchirante d'Amy Winehouse ("In Love") ou au blues accrocheur de Tracy Chapman ("The End Of Story"), ne manquant pas d'inviter l'auditeur à se trémousser sur des compositions plus up-tempo, comme le langoureux "Be a Girl" et les plus explosifs"By Your Side" et "Dance". Le tendre "Still In Love", ballade soulful envoûtante, ravira les amateurs d'atmosphères musicales urbaines unplugged, où l'essentiel ne tient que dans quelques accords de guitare folk et un chant fragile gorgé d'émotion...
Formé par la chanteuse et MC Manon Cluzel - que l'on a croisé au sein du collectif lyonnais Supa Dupa sous l'alias Macy Lu - et par le guitariste multi-instrumentiste Benjamin Gouhier, le duo Uptown Lovers publiait le 4 Octobre dernier son premier opus baptisé By Your Side. Savoureux cocktail de sonorités jazzy, folk ("Ouverture", "Silence"), classique ("From Darkness to Light"), funk, R&B ou encore hip-hop ("Psycho"), le disque aux accents pop et aux textures acoustiques contagieuses, nous fait tour à tour songer aux ambiances nébuleuses de Meshell Ndégéocello ("Elisa"), à la soul déchirante d'Amy Winehouse ("In Love") ou au blues accrocheur de Tracy Chapman ("The End Of Story"), ne manquant pas d'inviter l'auditeur à se trémousser sur des compositions plus up-tempo, comme le langoureux "Be a Girl" et les plus explosifs"By Your Side" et "Dance". Le tendre "Still In Love", ballade soulful envoûtante, ravira les amateurs d'atmosphères musicales urbaines unplugged, où l'essentiel ne tient que dans quelques accords de guitare folk et un chant fragile gorgé d'émotion...
lundi 14 octobre 2019
Pierre Daven-Keller - Kino Music (Kwaidan Records)
Pierre Daven-Keller - Kino Music (Kwaidan Records)
Kino Music est le quatrième opus que l'auteur, arrangeur, producteur et multi-instrumentiste Pierre Bondu publie sous son alias Pierre Daven-Keller. Partenaire sur scène et en studio de Dominique A, Philippe Katerine et Miossec, il compose en 2001 la musique du long métrage de Catherine Corsini, La Répétition, il s'agissait alors de ses premiers pas dans le milieu cinématographique.
Avec son esthétique s'orientant délibérément vers les musiques de films des années 60 et 70, Kino Music - succèdant à Réaction A, Réaction B et Réaction C, 3 albums tantôt orientés chanson pop, tantôt composé d'une suite de pièces pour quatuor à cordes, percussions, clavecin et piano - plonge d'emblée l'auditeur dans l'univers instrumental intemporel des colonne sonore italiennes, avec en filigrane l'oeuvre magistrale d'Ennio Morricone qui surgie ça et là, entre autres réminiscences bossa nova et samba ("Melancholia", "Intermezzo Retro", "Tatoo Totem") et pop psychédélique ("Champ Magnétique", "Dakota Jim" ou "Farfisa"). Les spectres de François de Roubaix, Michel Magne, Eric Demarsan, Georges Delerue et même Serge Gainsbourg (période Histoire de Mélody Nelson) planent également au dessus de ce sublime recueil de 14 compositions touchantes et envoûtantes, que les voix sensuelles et accrocheuses d'Helena Noguerra, Ariel Dombasle et Maeva Galantier participent à rendre unique et captivant. Des mélodies inoubliables resteront gravées dans les esprits des plus nostalgiques, à l'image de "Corniche Kennedy" et ses textures sonores attendrissantes, traversée par des cuivres, clavecin et autres cordes...
Kino Music est le quatrième opus que l'auteur, arrangeur, producteur et multi-instrumentiste Pierre Bondu publie sous son alias Pierre Daven-Keller. Partenaire sur scène et en studio de Dominique A, Philippe Katerine et Miossec, il compose en 2001 la musique du long métrage de Catherine Corsini, La Répétition, il s'agissait alors de ses premiers pas dans le milieu cinématographique.
Avec son esthétique s'orientant délibérément vers les musiques de films des années 60 et 70, Kino Music - succèdant à Réaction A, Réaction B et Réaction C, 3 albums tantôt orientés chanson pop, tantôt composé d'une suite de pièces pour quatuor à cordes, percussions, clavecin et piano - plonge d'emblée l'auditeur dans l'univers instrumental intemporel des colonne sonore italiennes, avec en filigrane l'oeuvre magistrale d'Ennio Morricone qui surgie ça et là, entre autres réminiscences bossa nova et samba ("Melancholia", "Intermezzo Retro", "Tatoo Totem") et pop psychédélique ("Champ Magnétique", "Dakota Jim" ou "Farfisa"). Les spectres de François de Roubaix, Michel Magne, Eric Demarsan, Georges Delerue et même Serge Gainsbourg (période Histoire de Mélody Nelson) planent également au dessus de ce sublime recueil de 14 compositions touchantes et envoûtantes, que les voix sensuelles et accrocheuses d'Helena Noguerra, Ariel Dombasle et Maeva Galantier participent à rendre unique et captivant. Des mélodies inoubliables resteront gravées dans les esprits des plus nostalgiques, à l'image de "Corniche Kennedy" et ses textures sonores attendrissantes, traversée par des cuivres, clavecin et autres cordes...
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vendredi 4 octobre 2019
Mathias Lévy - Unis Vers (Harmonia Mundi/Pias)
Mathias Lévy - Unis Vers (Harmonia Mundi/Pias)
Unis Vers, second opus du violoniste Mathias Lévy, vous laissera pantois, non pas parce-que l'excellence du casting donne le vertige ou que l'ensemble des compositions est d'une profondeur insondable, mais simplement parce que le son du trio qu'il forme avec le contrebassiste Jean-Philippe Viret et le guitariste/violoncelliste Sébastien Geniaux dégage une poésie et une esthétique atypiques, pleines de grâce, d'élégance, d'inspiration et de mélancolie. Nourri par un tas d'influences - de Django à Bartok en passant par Monk, Ornette Coleman, les musiques folk et indienne, la valse musette ou le rock progressif - le groupe explore des sonorités acoustiques qu'il fait siennes, où les libertés harmoniques et rythmiques, les tessitures inhabituelles et son lyrisme mélodique trouvent leur équilibre dans un espace de jeu ouvert. Cette musique savante et improvisée, clairement cinématographique tant elle est immersive, est le fruit d'une maturation qui a su l'éloigner du registre manouche de ses débuts (Revisiting Grappelli), développant un vocabulaire d'improvisation moderne, inventif et polyrythmique qui relève du jazz le plus actuel. Deux monstres sacrés aux multiple facettes se joignent au projet, il s'agit du violoncelliste Vincent Ségal et de l'accordéoniste Vincent Peirani...
Magique!
Unis Vers, second opus du violoniste Mathias Lévy, vous laissera pantois, non pas parce-que l'excellence du casting donne le vertige ou que l'ensemble des compositions est d'une profondeur insondable, mais simplement parce que le son du trio qu'il forme avec le contrebassiste Jean-Philippe Viret et le guitariste/violoncelliste Sébastien Geniaux dégage une poésie et une esthétique atypiques, pleines de grâce, d'élégance, d'inspiration et de mélancolie. Nourri par un tas d'influences - de Django à Bartok en passant par Monk, Ornette Coleman, les musiques folk et indienne, la valse musette ou le rock progressif - le groupe explore des sonorités acoustiques qu'il fait siennes, où les libertés harmoniques et rythmiques, les tessitures inhabituelles et son lyrisme mélodique trouvent leur équilibre dans un espace de jeu ouvert. Cette musique savante et improvisée, clairement cinématographique tant elle est immersive, est le fruit d'une maturation qui a su l'éloigner du registre manouche de ses débuts (Revisiting Grappelli), développant un vocabulaire d'improvisation moderne, inventif et polyrythmique qui relève du jazz le plus actuel. Deux monstres sacrés aux multiple facettes se joignent au projet, il s'agit du violoncelliste Vincent Ségal et de l'accordéoniste Vincent Peirani...
Magique!
mercredi 2 octobre 2019
Rabih Abou-Khalil - The Flood and the Fate of the Fish (Enja/L'Autre Distribution)
Rabih Abou-Khalil - The Flood and the Fate of the Fish (Enja/L'Autre Distribution)
Attablé avec son oud et posant devant des partitions griffonnées, son cigare au bec et un single malt de 10 ans d'âge à portée de verre, Rabih Abou-Khalil nous invite à découvrir son nouveau projet paru le 20 Septembre denier chez Enja, baptisé The Flood and the Fate of the Fish. Le compositeur libanais s'est entouré de sa garde rapprochée avec qui il se produit depuis plusieurs décennies, pour nous offrir un recueil de 9 morceaux où sonnent, s'harmonisent et se réinventent avec beauté et poésie des influences musicales issues d'horizons divers. Le batteur et percussionniste Jarrod Cagwin apporte sa connaissance et sa maîtrise des rythmes arabes, turcs, africains et indiens, l'accordéoniste italien, Luciano Biondini, sa virtuosité et sa force mélodique. Le chanteur et saxophoniste Gavino Murgia y adapte son art guttural et vocal, hérité de la tradition des ténors sardes ("Is There Wine?"), tandis qu'avec son chant envoûtant, le portugais Ricardo Ribeiro y restitue toute la profondeur du fado ("Falso Amor"). Kudsi Ergüner, maître du Mevlevi traditionnel (ordre des derviches tourneurs) et l'un des plus célèbres joueurs de ney de son pays, intègre les nuances mystiques et délicates de la musique classique turque ("Grâos de Area"), puis Eri Takeya, violoniste japonaise, impose son énergie avec une vivacité à couper le souffle ("Kyrie")... Un disque d'émoi, gorgé de vibrations world sophistiquées et fédératrices.
Attablé avec son oud et posant devant des partitions griffonnées, son cigare au bec et un single malt de 10 ans d'âge à portée de verre, Rabih Abou-Khalil nous invite à découvrir son nouveau projet paru le 20 Septembre denier chez Enja, baptisé The Flood and the Fate of the Fish. Le compositeur libanais s'est entouré de sa garde rapprochée avec qui il se produit depuis plusieurs décennies, pour nous offrir un recueil de 9 morceaux où sonnent, s'harmonisent et se réinventent avec beauté et poésie des influences musicales issues d'horizons divers. Le batteur et percussionniste Jarrod Cagwin apporte sa connaissance et sa maîtrise des rythmes arabes, turcs, africains et indiens, l'accordéoniste italien, Luciano Biondini, sa virtuosité et sa force mélodique. Le chanteur et saxophoniste Gavino Murgia y adapte son art guttural et vocal, hérité de la tradition des ténors sardes ("Is There Wine?"), tandis qu'avec son chant envoûtant, le portugais Ricardo Ribeiro y restitue toute la profondeur du fado ("Falso Amor"). Kudsi Ergüner, maître du Mevlevi traditionnel (ordre des derviches tourneurs) et l'un des plus célèbres joueurs de ney de son pays, intègre les nuances mystiques et délicates de la musique classique turque ("Grâos de Area"), puis Eri Takeya, violoniste japonaise, impose son énergie avec une vivacité à couper le souffle ("Kyrie")... Un disque d'émoi, gorgé de vibrations world sophistiquées et fédératrices.
mardi 1 octobre 2019
Daniel Zimmermann - Dichotomie's (Label Bleu/L'Autre Distribution)
Daniel Zimmermann - Dichotomie's (Label Bleu/L'Autre Distribution)
Trois ans après Montagnes Russes, le tromboniste originaire des Hauts-de-Seine Daniel Zimmermann nous revient avec Dichotomie's, son nouvel opus à paraître le 15 Novembre prochain, qu'il a enregistré en quartet avec Benoït Delbecq aux claviers, Rémi Sciuto au saxophone basse et Franck Vaillant à la batterie... Un ensemble original et plein de promesses.
Le jeu fluide et la patte si singulière du souffleur ont fait forte impression dans les récents projets de Jacques Vidal et Thierry Maillard, mais c'est dans les années 90 auprès de Claude Nougaro, Manu Dibango et Tony Allen que Daniel a véritablement acquis son aura.
Dichotomie's, formation expérimentale à l'instrumentation plutôt inédite élabore des grooves accrocheurs mais souvent déstabilisants. Elle nous plonge dans un jazz joueur et pluriel, loin des sentiers battus et alimenté par une large palette de sonorités, tantôt douces et crépusculaires, tantôt nerveuses et acidulées.
Animées par des syncopes sophistiquées, up-tempo, down tempo ou poly-rythmiques, les 9 compositions de l'album ne laisseront pas indifférents, à l'image du sublime "Le Monde d'Après", titre aux accents afro jazz où brillent les cordes méconnaissables du piano de Benoît.
Des extraits du disque à écouter ici:
https://danielzimmermanntrombone.com/wp2016/wordpress/js_albums/dichotomies/
Trois ans après Montagnes Russes, le tromboniste originaire des Hauts-de-Seine Daniel Zimmermann nous revient avec Dichotomie's, son nouvel opus à paraître le 15 Novembre prochain, qu'il a enregistré en quartet avec Benoït Delbecq aux claviers, Rémi Sciuto au saxophone basse et Franck Vaillant à la batterie... Un ensemble original et plein de promesses.
Le jeu fluide et la patte si singulière du souffleur ont fait forte impression dans les récents projets de Jacques Vidal et Thierry Maillard, mais c'est dans les années 90 auprès de Claude Nougaro, Manu Dibango et Tony Allen que Daniel a véritablement acquis son aura.
Dichotomie's, formation expérimentale à l'instrumentation plutôt inédite élabore des grooves accrocheurs mais souvent déstabilisants. Elle nous plonge dans un jazz joueur et pluriel, loin des sentiers battus et alimenté par une large palette de sonorités, tantôt douces et crépusculaires, tantôt nerveuses et acidulées.
Animées par des syncopes sophistiquées, up-tempo, down tempo ou poly-rythmiques, les 9 compositions de l'album ne laisseront pas indifférents, à l'image du sublime "Le Monde d'Après", titre aux accents afro jazz où brillent les cordes méconnaissables du piano de Benoît.
Des extraits du disque à écouter ici:
https://danielzimmermanntrombone.com/wp2016/wordpress/js_albums/dichotomies/
Thomas Grimmonprez quartet - Big Wheel (Outnote Records)
Thomas Grimmonprez quartet - Big Wheel (Outnote Records)
Le batteur lillois Thomas Grimmonprez nous avait déjà conquis en 2016 avec son excellent Kaleidoscope, il revenait en quartet le 23 Août dernier pour livrer son troisième opus baptisé Big Wheel. Épaulé par l'incontournable Manu Codjia à la guitare électrique, Benjamin Moussay au piano, Jérôme Regard et Matyas Szandai à la contrebasse, le maître du temps et des moments suspendus nous offre ainsi un recueil de 9 compositions vibrantes et immersives inspirées par la symbolique de la grande roue, son mouvement, la perfection de son cercle et l'idée de recommencement. Le jazzman, sensible et inspiré, invite l'auditeur à déambuler dans son univers musical poétique, habité de sonorités jazz raffinées et de mélodies envoûtantes.
Le batteur lillois Thomas Grimmonprez nous avait déjà conquis en 2016 avec son excellent Kaleidoscope, il revenait en quartet le 23 Août dernier pour livrer son troisième opus baptisé Big Wheel. Épaulé par l'incontournable Manu Codjia à la guitare électrique, Benjamin Moussay au piano, Jérôme Regard et Matyas Szandai à la contrebasse, le maître du temps et des moments suspendus nous offre ainsi un recueil de 9 compositions vibrantes et immersives inspirées par la symbolique de la grande roue, son mouvement, la perfection de son cercle et l'idée de recommencement. Le jazzman, sensible et inspiré, invite l'auditeur à déambuler dans son univers musical poétique, habité de sonorités jazz raffinées et de mélodies envoûtantes.
vendredi 27 septembre 2019
Samy Thiébault - Symphonic Tales (Gaya Musc/L'Autre Distribution)
Samy Thiébault - Symphonic Tales (Gaya Musc/L'Autre Distribution)
Dans un tout autre registre mais avec toujours le même ardent désir d'explorer et de rapprocher les univers musicaux qui alimentent son jeu brûlant et son écriture inspirée, le saxophoniste et flûtiste Samy Thiébault nous livrait le 20 Septembre dernier Symphonic Tales, oeuvre magistrale enregistrée avec l'Orchestre Symphonique de Bretagne dirigé par le jeune Aurélien Azan Zielinsky. Si dans son précédent Caribbean Stories l'artiste revisitait l'Amérique latine, il s'attache ici à concilier musique classique, jazz et rythmes indiens dans une symphonie aux envolées de cordes épiques, riche d'une orchestration vibrante et sans faille dans laquelle planent les spectres bienveillants de Duke Ellington, Miles Davis, Ravi Shankar, John Coltrane, Horace Silver, Maurice Ravel, Claude Debussy ou encore Gabriel Fauré.
Samy s'est entouré pour l'occasion d'une garde rapprochée fidèle et solide où s'y côtoient ses complices de longue date Adrien Chicot au piano, Sylvain Romano à la contrebasse, Philippe Soirat à la batterie et Sébastien Vidal à la réalisation, sans oublier l'une des pièces fondamentales du projet, le joueur de tablas Mossin Kawa.
Dans un tout autre registre mais avec toujours le même ardent désir d'explorer et de rapprocher les univers musicaux qui alimentent son jeu brûlant et son écriture inspirée, le saxophoniste et flûtiste Samy Thiébault nous livrait le 20 Septembre dernier Symphonic Tales, oeuvre magistrale enregistrée avec l'Orchestre Symphonique de Bretagne dirigé par le jeune Aurélien Azan Zielinsky. Si dans son précédent Caribbean Stories l'artiste revisitait l'Amérique latine, il s'attache ici à concilier musique classique, jazz et rythmes indiens dans une symphonie aux envolées de cordes épiques, riche d'une orchestration vibrante et sans faille dans laquelle planent les spectres bienveillants de Duke Ellington, Miles Davis, Ravi Shankar, John Coltrane, Horace Silver, Maurice Ravel, Claude Debussy ou encore Gabriel Fauré.
Samy s'est entouré pour l'occasion d'une garde rapprochée fidèle et solide où s'y côtoient ses complices de longue date Adrien Chicot au piano, Sylvain Romano à la contrebasse, Philippe Soirat à la batterie et Sébastien Vidal à la réalisation, sans oublier l'une des pièces fondamentales du projet, le joueur de tablas Mossin Kawa.
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