Le musicien basé à Vienne Dino Spiluttini publie sur l'exigeant label autrichien Cut Surface son septième opus baptisé To Be A Beast, un objet sonore introspectif, étrange et sombre, habité de nappes ambient poussiéreuses et corrosives, de soupirs électroniques lancinants gavés d'interférences. Les 12 titres de l'album qui se développent sur 36 secondes pour le plus court, jusqu'à 5 minutes 55 secondes pour le plus long, nous immergent dans l'intimité angoissante et oppressante de l'artiste, ses ambiances crépusculaires lo-fi et bourdonnantes poussées jusqu'à saturation font en effet écho à ses propres doutes et aux pressions nauséabondes d'un quotidien anxiogène. Cependant, elles peuvent aussi faire allusion à quelques rares moments d'espoir et de joie, noyés dans une nostalgie omniprésente, épaisse et pesante.
"MUSIC CREATES ORDER OUT OF CHAOS" (Yehudi Menuhin) hiko.events@gmail.com www.mixcloud.com/hikoevents
mercredi 5 avril 2017
Dino Spiluttini - To Be A Beast (Cut Surface)
Dino Spiluttini - To Be A Beast (Cut Surface)
Le musicien basé à Vienne Dino Spiluttini publie sur l'exigeant label autrichien Cut Surface son septième opus baptisé To Be A Beast, un objet sonore introspectif, étrange et sombre, habité de nappes ambient poussiéreuses et corrosives, de soupirs électroniques lancinants gavés d'interférences. Les 12 titres de l'album qui se développent sur 36 secondes pour le plus court, jusqu'à 5 minutes 55 secondes pour le plus long, nous immergent dans l'intimité angoissante et oppressante de l'artiste, ses ambiances crépusculaires lo-fi et bourdonnantes poussées jusqu'à saturation font en effet écho à ses propres doutes et aux pressions nauséabondes d'un quotidien anxiogène. Cependant, elles peuvent aussi faire allusion à quelques rares moments d'espoir et de joie, noyés dans une nostalgie omniprésente, épaisse et pesante.
Le musicien basé à Vienne Dino Spiluttini publie sur l'exigeant label autrichien Cut Surface son septième opus baptisé To Be A Beast, un objet sonore introspectif, étrange et sombre, habité de nappes ambient poussiéreuses et corrosives, de soupirs électroniques lancinants gavés d'interférences. Les 12 titres de l'album qui se développent sur 36 secondes pour le plus court, jusqu'à 5 minutes 55 secondes pour le plus long, nous immergent dans l'intimité angoissante et oppressante de l'artiste, ses ambiances crépusculaires lo-fi et bourdonnantes poussées jusqu'à saturation font en effet écho à ses propres doutes et aux pressions nauséabondes d'un quotidien anxiogène. Cependant, elles peuvent aussi faire allusion à quelques rares moments d'espoir et de joie, noyés dans une nostalgie omniprésente, épaisse et pesante.
Soulwax - From Deewee (Pias)
Soulwax - From Deewee (Pias)
C'est en Février 2016 que nous croisions la route des frères Dewaele à l'occasion de la sortie cinéma de Belgica. En effet le duo electro formé par David et Stephen baptisé Soulwax alias 2ManyDjs signait la musique du film réalisé par le belge Felix Van Groeningen, une bande-son habitée de compositions sulfureuses et bien calibrées, où avaient été imaginés plus d'une dizaine de groupes fictifs alliant sonorités techno, punk, rock, avant-garde, blues et funk.
Parallèlement, les frangins flamands étaient dernièrement en tournée avec le fondateur de LCD Soundsystem James Murphy et son fameux Despacio, une des sonorisations les plus impressionnantes et ambitieuses du monde, pour une série de prestations disco old-school uniquement mixées sur vinyles.
Les maîtres du dancefloor reviennent enfin avec un projet plus personnel, le dernier ayant été leur album Nite Versions paru en 2005, il s'agit de From Deewee. Ses 12 titres ont été enregistrés en une seule prise le 07 Février dernier, dans leur studio du même nom situé à Gant. Epaulé par 5 musiciens dont le seul membre historique restant du groupe gantois (hors les Dewaele bien sûr) est le bassiste Stefaan Van Leuven, s'y côtoient 3 batteurs aux tempéraments explosifs, Iggor Cavalera de Sepultura, Victoria Smith qui a œuvré pour M.I.A ou The XX) puis Blake Davies de Turbowolf, ainsi que la claviériste Laima Leyton (Mixhell). Malgré cette profusion de talents et de singularités, Soulwax parvient à orchestrer un disque remarquablement équilibré, au penchant acide et 'métallique'. Un brin nostalgique de l'ère Depeche Mode et Kraftwerk, il flirte souvent avec la synth-pop, mais aussi avec l'IDM, la cold wave, le krautrock et le disco. Sophistiqué, captivant et dansant, From Deewee remet Soulwax à sa juste place, sur un piédestal restauré, qui commençait à s'effriter.
C'est en Février 2016 que nous croisions la route des frères Dewaele à l'occasion de la sortie cinéma de Belgica. En effet le duo electro formé par David et Stephen baptisé Soulwax alias 2ManyDjs signait la musique du film réalisé par le belge Felix Van Groeningen, une bande-son habitée de compositions sulfureuses et bien calibrées, où avaient été imaginés plus d'une dizaine de groupes fictifs alliant sonorités techno, punk, rock, avant-garde, blues et funk.
Parallèlement, les frangins flamands étaient dernièrement en tournée avec le fondateur de LCD Soundsystem James Murphy et son fameux Despacio, une des sonorisations les plus impressionnantes et ambitieuses du monde, pour une série de prestations disco old-school uniquement mixées sur vinyles.
Les maîtres du dancefloor reviennent enfin avec un projet plus personnel, le dernier ayant été leur album Nite Versions paru en 2005, il s'agit de From Deewee. Ses 12 titres ont été enregistrés en une seule prise le 07 Février dernier, dans leur studio du même nom situé à Gant. Epaulé par 5 musiciens dont le seul membre historique restant du groupe gantois (hors les Dewaele bien sûr) est le bassiste Stefaan Van Leuven, s'y côtoient 3 batteurs aux tempéraments explosifs, Iggor Cavalera de Sepultura, Victoria Smith qui a œuvré pour M.I.A ou The XX) puis Blake Davies de Turbowolf, ainsi que la claviériste Laima Leyton (Mixhell). Malgré cette profusion de talents et de singularités, Soulwax parvient à orchestrer un disque remarquablement équilibré, au penchant acide et 'métallique'. Un brin nostalgique de l'ère Depeche Mode et Kraftwerk, il flirte souvent avec la synth-pop, mais aussi avec l'IDM, la cold wave, le krautrock et le disco. Sophistiqué, captivant et dansant, From Deewee remet Soulwax à sa juste place, sur un piédestal restauré, qui commençait à s'effriter.
Scarper - Warmer Squares (Plexus Records)
Scarper - Warmer Squares (Plexus Records)
Le producteur basé à Londres Steve Young alias Scarper publie sur le label anglais Plexus Records son premier opus long format baptisé Warmer Squares. Influencé par une pléiade d'artistes aux univers électroniques bien distincts allant d'Aphex Twin à Tangerine Dream, en passant par Mr Scruff, A Guy Called Gerald, Coldcut ou encore Nightmares on Wax, il nous présente un recueil de 11 titres colorés et sophistiqués, habité d'accents pop accrocheurs et parcouru de références un brin nostalgiques aux pionniers de l'electronica allemande comme Kraftwerk et britannique comme LFO, Autechre ou Luke Slater. Décrit comme un 'Jean-Michel Jarre des temps modernes' par BBC 6 Music, Scarper y est l'artisan de mélodies envoutantes et des plages comme "Green Song" ou "One For Alfie" ne me démentiront pas. Les atmosphères UK bass, breakbeat, chill-out, IDM et techno se croisent sans se froisser, quitte à parfois faire le grand écart comme entre "Bleepathon" et ses notes technoïdes, "Endess Fractals" et sa texture ambient, "Jitterbug Acid" et sa rythmique jungle ou encore l'excellent "Fellow Munk" et sa touche abstract R&B. Je retiendrai aussi le morceau "The Drift", particulièrement immersif et captivant grâce à ses nappes enivrantes, sa ligne de basse mordante et son beat deep-house viral.
Le producteur basé à Londres Steve Young alias Scarper publie sur le label anglais Plexus Records son premier opus long format baptisé Warmer Squares. Influencé par une pléiade d'artistes aux univers électroniques bien distincts allant d'Aphex Twin à Tangerine Dream, en passant par Mr Scruff, A Guy Called Gerald, Coldcut ou encore Nightmares on Wax, il nous présente un recueil de 11 titres colorés et sophistiqués, habité d'accents pop accrocheurs et parcouru de références un brin nostalgiques aux pionniers de l'electronica allemande comme Kraftwerk et britannique comme LFO, Autechre ou Luke Slater. Décrit comme un 'Jean-Michel Jarre des temps modernes' par BBC 6 Music, Scarper y est l'artisan de mélodies envoutantes et des plages comme "Green Song" ou "One For Alfie" ne me démentiront pas. Les atmosphères UK bass, breakbeat, chill-out, IDM et techno se croisent sans se froisser, quitte à parfois faire le grand écart comme entre "Bleepathon" et ses notes technoïdes, "Endess Fractals" et sa texture ambient, "Jitterbug Acid" et sa rythmique jungle ou encore l'excellent "Fellow Munk" et sa touche abstract R&B. Je retiendrai aussi le morceau "The Drift", particulièrement immersif et captivant grâce à ses nappes enivrantes, sa ligne de basse mordante et son beat deep-house viral.
mardi 4 avril 2017
The Original Sound Of Mali (Mr Bongo)
The Original Sound Of Mali (Mr Bongo)
David "Mr Bongo" Buttle (Dj et patron du mythique label anglais du même nom, créé en 1989) et Vik Sohonie d'Ostinato Records nous présentent une nouvelle sélection de 13 perles maliennes issues des années 70 et 80, période de l'histoire musicale du pays remarquablement fertile, qui nous parvient grâce au bon technologique des techniques d'enregistrement. S'y retrouvent les titres de figures locales emblématiques de l'époque, dont l'immense Salif Keita, le célèbre Idrissa Soumaoro et le pionnier Sory Bamba ou les fameux orchestres Rail Band du Buffet Hôtel de la gare de Bamako et Les Ambassadeurs du Motel de Bamako. Les sonorités d'une Afrique plurielle (Guinée, Congo, Ghana, Nigéria, Maghreb,...) croisaient alors celles des Amériques, fusionnant ainsi la chaleur cubaine ("Fatema") et l'urgence des rythmes afro-américains. Des musiciens virtuoses s'approprièrent ainsi l'expressivité des instruments électrifiés et amplifiés (guitares, basses, claviers), gavée des reflets urbains fédérateurs du funk ("Mouodilo"), du rock et de la soul ("Fama Allah"), sans pour autant renier l'héritage de la tradition orale détenue par les griots depuis l'ancien empire mandingue.
David "Mr Bongo" Buttle (Dj et patron du mythique label anglais du même nom, créé en 1989) et Vik Sohonie d'Ostinato Records nous présentent une nouvelle sélection de 13 perles maliennes issues des années 70 et 80, période de l'histoire musicale du pays remarquablement fertile, qui nous parvient grâce au bon technologique des techniques d'enregistrement. S'y retrouvent les titres de figures locales emblématiques de l'époque, dont l'immense Salif Keita, le célèbre Idrissa Soumaoro et le pionnier Sory Bamba ou les fameux orchestres Rail Band du Buffet Hôtel de la gare de Bamako et Les Ambassadeurs du Motel de Bamako. Les sonorités d'une Afrique plurielle (Guinée, Congo, Ghana, Nigéria, Maghreb,...) croisaient alors celles des Amériques, fusionnant ainsi la chaleur cubaine ("Fatema") et l'urgence des rythmes afro-américains. Des musiciens virtuoses s'approprièrent ainsi l'expressivité des instruments électrifiés et amplifiés (guitares, basses, claviers), gavée des reflets urbains fédérateurs du funk ("Mouodilo"), du rock et de la soul ("Fama Allah"), sans pour autant renier l'héritage de la tradition orale détenue par les griots depuis l'ancien empire mandingue.
David Enhco - Horizons (NOME/L'Autre Distribution)
David Enhco - Horizons (NOME/L'Autre Distribution)
Initié très tôt à la musique classique et plus tard au jazz notamment grâce à Didier Lockwood, le trompettiste David Enhco nous offre via le label NOME qu'il a fondé en 2014 avec cinq autres musiciens dont le contrebassiste Florent Nisse - d'ailleurs présent dans son quartet - un troisième effort intitulé Horizons. Egalement accompagné du pianiste Roberto Negro et du batteur Gautier Garrigue, qui figuraient déjà au casting de son premier disque La Horde, le jeune jazzman co-directeur de The Amazing Keystone Big Band, présente 11 pièces captivantes composées par les quatre membres de la formation, dont 2 improvisations collectives en guise d'interludes free jazz. La douceur d'écoute se vérifie tout au long de l'album, même lorsque le tempo, globalement lent, s'emballe et que les notes échappent à la tonalité. Malgré le calme et l'ordre apparents, le quartet a le goût du risque, s'autorisant des écarts clairs-obscurs, des bifurcations fulgurantes et des digressions surprenantes qui, toute fois, restent solidaires à un ensemble homogène plongé dans la pénombre... Un disque vibrant et touchant!
Initié très tôt à la musique classique et plus tard au jazz notamment grâce à Didier Lockwood, le trompettiste David Enhco nous offre via le label NOME qu'il a fondé en 2014 avec cinq autres musiciens dont le contrebassiste Florent Nisse - d'ailleurs présent dans son quartet - un troisième effort intitulé Horizons. Egalement accompagné du pianiste Roberto Negro et du batteur Gautier Garrigue, qui figuraient déjà au casting de son premier disque La Horde, le jeune jazzman co-directeur de The Amazing Keystone Big Band, présente 11 pièces captivantes composées par les quatre membres de la formation, dont 2 improvisations collectives en guise d'interludes free jazz. La douceur d'écoute se vérifie tout au long de l'album, même lorsque le tempo, globalement lent, s'emballe et que les notes échappent à la tonalité. Malgré le calme et l'ordre apparents, le quartet a le goût du risque, s'autorisant des écarts clairs-obscurs, des bifurcations fulgurantes et des digressions surprenantes qui, toute fois, restent solidaires à un ensemble homogène plongé dans la pénombre... Un disque vibrant et touchant!
vendredi 31 mars 2017
Franky Rizardo - Flow Edits (Defected)
Franky Rizardo - Flow Edits (Defected)
Exclusivement réalisés pour la sortie de sa toute récente compilation chez Defected, Franky Rizardo In The House, les deux Edits que nous présente aujourd'hui le Dj hollandais illustrent la force de frappe et l'excellente lecture du dancefloor d'un jeune artiste électro qui a su s'imposer, en quelques dernières années, comme une référence incontournable de la scène club internationale.
Flow Edits nous propose en premier lieu "Underground Abduction (Franky Rizardo Flow Edit)", soit la réunion du classique aux sonorités deep house "Underground" de Nick Curly et du fameux "Abduction" de l'italien Whitesquare, dont parlions il y a peu lors de la sortie de son EP Reflection sur DFTD. Le titre affiche clairement la signature tech house puissante et massive de Franky, arborant notamment la ligne de basse captivante de Whitesquare.
Dans un second temps, l'EP nous offre "Forward Pleasure (Franky Rizardo Flow Edit)", edit rapprochant "Move Body, Move Farward" de Paolo Rocco et "Profound Pleasure" de Coyu. Explorant l'univers de chacun des morceaux et ne gardant que le meilleur des deux partis, Franky Rizardo brille par sa clairvoyance et son talent à n'en retenir que la substantifique moelle !
Exclusivement réalisés pour la sortie de sa toute récente compilation chez Defected, Franky Rizardo In The House, les deux Edits que nous présente aujourd'hui le Dj hollandais illustrent la force de frappe et l'excellente lecture du dancefloor d'un jeune artiste électro qui a su s'imposer, en quelques dernières années, comme une référence incontournable de la scène club internationale.
Flow Edits nous propose en premier lieu "Underground Abduction (Franky Rizardo Flow Edit)", soit la réunion du classique aux sonorités deep house "Underground" de Nick Curly et du fameux "Abduction" de l'italien Whitesquare, dont parlions il y a peu lors de la sortie de son EP Reflection sur DFTD. Le titre affiche clairement la signature tech house puissante et massive de Franky, arborant notamment la ligne de basse captivante de Whitesquare.
Dans un second temps, l'EP nous offre "Forward Pleasure (Franky Rizardo Flow Edit)", edit rapprochant "Move Body, Move Farward" de Paolo Rocco et "Profound Pleasure" de Coyu. Explorant l'univers de chacun des morceaux et ne gardant que le meilleur des deux partis, Franky Rizardo brille par sa clairvoyance et son talent à n'en retenir que la substantifique moelle !
jeudi 30 mars 2017
Mondowski - Surfin Hell EP (Relish Recordings)
Mondowski - Surfin Hell EP (Relish Recordings)
De retour sur la plateforme suisse Relish Recordings, le français Mondowski publie Surfin Hell, un EP aux sonorités technoïdes dont le titre éponyme à tendance narcoleptique pourrait être la bande-son du générique d'un film de science fiction des 80, avec sa cadence cosmic -disco, sa ligne de basse profonde, ses riffs de guitare surf rock et ses FXs rétro. C'est à Headman alias Insinna (boss du label) et à la moitié de Scratch Massive, Sébastien Chenut, que le Dj installé à Londres a confié sa production. Dans son "rework", le premier reste fidèle à l'ambiance générale tout en la rendant plus immersive et obsédante, plongeant l'auditeur en état d'apesanteur. Le second propose un "remix" légèrement plus musclé et orienté dance-floor, il se rapproche ainsi des codes et des notes mélancoliques de la new-wave.
Avec son deuxième morceau nommé "Delok", Mondowski change de décor élaborant une atmosphère electronica entrainante, une house progressive envoutante, définitivement taillée pour le club.
L'EP paraîtra le 07 Avril prochain...
De retour sur la plateforme suisse Relish Recordings, le français Mondowski publie Surfin Hell, un EP aux sonorités technoïdes dont le titre éponyme à tendance narcoleptique pourrait être la bande-son du générique d'un film de science fiction des 80, avec sa cadence cosmic -disco, sa ligne de basse profonde, ses riffs de guitare surf rock et ses FXs rétro. C'est à Headman alias Insinna (boss du label) et à la moitié de Scratch Massive, Sébastien Chenut, que le Dj installé à Londres a confié sa production. Dans son "rework", le premier reste fidèle à l'ambiance générale tout en la rendant plus immersive et obsédante, plongeant l'auditeur en état d'apesanteur. Le second propose un "remix" légèrement plus musclé et orienté dance-floor, il se rapproche ainsi des codes et des notes mélancoliques de la new-wave.
Avec son deuxième morceau nommé "Delok", Mondowski change de décor élaborant une atmosphère electronica entrainante, une house progressive envoutante, définitivement taillée pour le club.
L'EP paraîtra le 07 Avril prochain...
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