Originaire de Nashville aux Etats-Unis, le Dj/producteur américain Terry Grant alias More Ghost Than Man nous revient via Westerns With The Sound Off avec le quatrième single extrait de son premier opus au titre éponyme paru l'an dernier, "The Courage To Lie To A Dying Man". Notamment repéré pour ses travaux publiés sur Bedrock, Deep, Soul and Sheep et Neurotraxx, il s'est illustré auprès de pointures emblématiques de la scène house underground, comme Pezzner, Aki Bergen, MSMS, Scope ou encore Luke Solomon, avec qui il réalisait il y a peu pour Glitterbox, un remix du terrible "Wonky Bassline Disco Banger" de Red Rack'em. Ses penchants pour les contrées musicales deep et soulful, son sens aigu pour la mélodie et les ambiances cinématographiques, transparaissent dans cette sublime réalisation electronica à l'atmosphère chill. Habitée de nappes de synthés nébuleuses hantée par des vocaux fantomatiques, la production est rythmée par un beat scintillant au groove urbain désarticulé, sur lequel flotte une ligne de basse vrombissante et bourdonnante. Le morceau est accompagné d'un remix somptueux livré par Makeup and Vanity Set ainsi que d'un nouveau titre : "Trust The Physician", lui aussi immersif et envoutant!
"MUSIC CREATES ORDER OUT OF CHAOS" (Yehudi Menuhin) hiko.events@gmail.com www.mixcloud.com/hikoevents
mercredi 4 avril 2018
More Ghost Than Man - The Courage To Lie To A Dying Man (Westerns With The Sound Off)
More Ghost Than Man - The Courage To Lie To A Dying Man (Westerns With The Sound Off)
Originaire de Nashville aux Etats-Unis, le Dj/producteur américain Terry Grant alias More Ghost Than Man nous revient via Westerns With The Sound Off avec le quatrième single extrait de son premier opus au titre éponyme paru l'an dernier, "The Courage To Lie To A Dying Man". Notamment repéré pour ses travaux publiés sur Bedrock, Deep, Soul and Sheep et Neurotraxx, il s'est illustré auprès de pointures emblématiques de la scène house underground, comme Pezzner, Aki Bergen, MSMS, Scope ou encore Luke Solomon, avec qui il réalisait il y a peu pour Glitterbox, un remix du terrible "Wonky Bassline Disco Banger" de Red Rack'em. Ses penchants pour les contrées musicales deep et soulful, son sens aigu pour la mélodie et les ambiances cinématographiques, transparaissent dans cette sublime réalisation electronica à l'atmosphère chill. Habitée de nappes de synthés nébuleuses hantée par des vocaux fantomatiques, la production est rythmée par un beat scintillant au groove urbain désarticulé, sur lequel flotte une ligne de basse vrombissante et bourdonnante. Le morceau est accompagné d'un remix somptueux livré par Makeup and Vanity Set ainsi que d'un nouveau titre : "Trust The Physician", lui aussi immersif et envoutant!
Originaire de Nashville aux Etats-Unis, le Dj/producteur américain Terry Grant alias More Ghost Than Man nous revient via Westerns With The Sound Off avec le quatrième single extrait de son premier opus au titre éponyme paru l'an dernier, "The Courage To Lie To A Dying Man". Notamment repéré pour ses travaux publiés sur Bedrock, Deep, Soul and Sheep et Neurotraxx, il s'est illustré auprès de pointures emblématiques de la scène house underground, comme Pezzner, Aki Bergen, MSMS, Scope ou encore Luke Solomon, avec qui il réalisait il y a peu pour Glitterbox, un remix du terrible "Wonky Bassline Disco Banger" de Red Rack'em. Ses penchants pour les contrées musicales deep et soulful, son sens aigu pour la mélodie et les ambiances cinématographiques, transparaissent dans cette sublime réalisation electronica à l'atmosphère chill. Habitée de nappes de synthés nébuleuses hantée par des vocaux fantomatiques, la production est rythmée par un beat scintillant au groove urbain désarticulé, sur lequel flotte une ligne de basse vrombissante et bourdonnante. Le morceau est accompagné d'un remix somptueux livré par Makeup and Vanity Set ainsi que d'un nouveau titre : "Trust The Physician", lui aussi immersif et envoutant!
mercredi 21 mars 2018
Michael Lovatt - Side Effects (Midnight Social Recordings)
Michael Lovatt - Side Effects EP (Midnight Social Recordings)
Le Dj/producteur irlandais (mais berlinois d'adoption) Michael Lovatt, nous présentait le 12 Mars dernier sur Midnight Social Recordings, son dernier EP baptisé Side Effects. Alignant de captivantes sonorités deep-house aux reflets industriels et minimal tech, en droite ligne avec l'esthétique du label de Carlo Gambino basé à Leeds, Michael nous livre 3 productions immersives et nocturnes aux délicates réminiscences techno/house des années 90. Animées par un groove accrocheur, elles sont habitées par des nappes de synthés vaporeuses et hypnotiques qui feront sans aucun doute leur effet cet été... Je pense au bar d'une plage isolée, à un délicieux couché de soleil tardif...
Le Dj/producteur irlandais (mais berlinois d'adoption) Michael Lovatt, nous présentait le 12 Mars dernier sur Midnight Social Recordings, son dernier EP baptisé Side Effects. Alignant de captivantes sonorités deep-house aux reflets industriels et minimal tech, en droite ligne avec l'esthétique du label de Carlo Gambino basé à Leeds, Michael nous livre 3 productions immersives et nocturnes aux délicates réminiscences techno/house des années 90. Animées par un groove accrocheur, elles sont habitées par des nappes de synthés vaporeuses et hypnotiques qui feront sans aucun doute leur effet cet été... Je pense au bar d'une plage isolée, à un délicieux couché de soleil tardif...
Eric Ross - She Likes To Beat It (SQ1theunderground)
Eric Ross - She Likes To Beat It (SQ1theunderground)
Le Dj/producteur américain Eric Ross publie sur SQ1theunderground, label aujourd'hui basé à L.A. qu'il fondait au Texas en 2016, She Likes To Beat It, un EP tiré d'un titre deep techno qui lui fut inspiré par l'ancienne citée portuaire maya, Tulum. Utilisant le Moog comme instrument de base, il élabore avec la légendaire TR-808 une rythmique 4/4 entrainante sur laquelle se développe, entre autres nappes et arpèges de synthés, une ligne de basse virale rappelant la mélodie accrocheuse du célèbre tube "Beat It", que Michael Jackson réalisait en 1982.
"She Likes To Beat It" est remixé dans une veine plus techy par Bubblewrappe, puis dans une esthétique plus dépouillée par l'italien Sam Draugluin, qui fait resurgir d'outre-tombe la voix du King of Pop. Cliff Anderson alias AIA, nous offre aussi sa vision du morceau,empruntant quant à lui la voie des airs...
Le Dj/producteur américain Eric Ross publie sur SQ1theunderground, label aujourd'hui basé à L.A. qu'il fondait au Texas en 2016, She Likes To Beat It, un EP tiré d'un titre deep techno qui lui fut inspiré par l'ancienne citée portuaire maya, Tulum. Utilisant le Moog comme instrument de base, il élabore avec la légendaire TR-808 une rythmique 4/4 entrainante sur laquelle se développe, entre autres nappes et arpèges de synthés, une ligne de basse virale rappelant la mélodie accrocheuse du célèbre tube "Beat It", que Michael Jackson réalisait en 1982.
"She Likes To Beat It" est remixé dans une veine plus techy par Bubblewrappe, puis dans une esthétique plus dépouillée par l'italien Sam Draugluin, qui fait resurgir d'outre-tombe la voix du King of Pop. Cliff Anderson alias AIA, nous offre aussi sa vision du morceau,empruntant quant à lui la voie des airs...
mardi 20 mars 2018
Jerk Boy - Blowing The Soul (Refuge Recordings)
Jerk Boy - Blowing The Soul (Refuge Recordings)
Le Dj/producteur australien Jerk Boy s'empare de l'illustre thème "Bird's Lament" du génialissime américain Moondog pour le sublimer dans une petite gourmandise deep-house prête à être consommer cet été. On a bien sûr tous en tête ce sample incontournable de 1969 présent dans "Get A Move On", que Mr Scruff publiait en 1999 sur Ninja Tune, ou encore cet étonnant edit qu'Henrik Schwarz nous livrait dans son mixe pour DJ-Kicks en 2006... Et bien voici "Blowing The Soul", un nouveau clin d'œil à cette composition hypnotique et entêtante aux sonorités cuivrées, qui combine savamment jazz avant-gardiste et musique minimaliste.
Le Dj/producteur australien Jerk Boy s'empare de l'illustre thème "Bird's Lament" du génialissime américain Moondog pour le sublimer dans une petite gourmandise deep-house prête à être consommer cet été. On a bien sûr tous en tête ce sample incontournable de 1969 présent dans "Get A Move On", que Mr Scruff publiait en 1999 sur Ninja Tune, ou encore cet étonnant edit qu'Henrik Schwarz nous livrait dans son mixe pour DJ-Kicks en 2006... Et bien voici "Blowing The Soul", un nouveau clin d'œil à cette composition hypnotique et entêtante aux sonorités cuivrées, qui combine savamment jazz avant-gardiste et musique minimaliste.
Warsnare - Warchestra (Infinite Machine)
Warsnare - Warchestra (Infinite Machine)
Le musicien londonien Daniel Potter alias Warsnare nous présente via Infinite Machine son épique et magistral Warchestra, un premier album long format immersif, exprimant un univers musical d'une rare richesse, foisonnant de sonorités acoustiques et électroniques, organiques et synthétiques. Flirtant avec l'UK bass music, le hip-hop, le jazz, l'ambient, la jungle, la deep house, le grime et le breakbeat, l'artiste y élabore de savantes combinaisons enregistrées en live, où il conjugue avec force et brio, d'intenses arrangements symphoniques, de subtiles incursions orchestrales contemporaines et de touchants clins d'œil aux folklores brésiliens (samba, choro, bossa nova et funk carioca). Inclassable, complexe, poétique et terriblement accrocheur, Warchestra aligne une suite d'invités prestigieux à la hauteur du défi lancé par son architecte virtuose. En effet, Warsnare a choisi pour habiter ses orchestrations sophistiquées et hybrides, des voix et des plumes raffinées : le chanteur Charlie Stark ("Syndrome" et "Without You") côtoie ainsi la divine Vienna Shilling ("Life Life" et "Beautiful Day"), la rappeuse/poétesse Kate Tempest ("Kairos") et la diva brésilienne Laura Lopes ("Quanto Tempo").
Un album brillant !
Le musicien londonien Daniel Potter alias Warsnare nous présente via Infinite Machine son épique et magistral Warchestra, un premier album long format immersif, exprimant un univers musical d'une rare richesse, foisonnant de sonorités acoustiques et électroniques, organiques et synthétiques. Flirtant avec l'UK bass music, le hip-hop, le jazz, l'ambient, la jungle, la deep house, le grime et le breakbeat, l'artiste y élabore de savantes combinaisons enregistrées en live, où il conjugue avec force et brio, d'intenses arrangements symphoniques, de subtiles incursions orchestrales contemporaines et de touchants clins d'œil aux folklores brésiliens (samba, choro, bossa nova et funk carioca). Inclassable, complexe, poétique et terriblement accrocheur, Warchestra aligne une suite d'invités prestigieux à la hauteur du défi lancé par son architecte virtuose. En effet, Warsnare a choisi pour habiter ses orchestrations sophistiquées et hybrides, des voix et des plumes raffinées : le chanteur Charlie Stark ("Syndrome" et "Without You") côtoie ainsi la divine Vienna Shilling ("Life Life" et "Beautiful Day"), la rappeuse/poétesse Kate Tempest ("Kairos") et la diva brésilienne Laura Lopes ("Quanto Tempo").
Un album brillant !
Ydentiti Crisis, Derreuq - Polarity EP (Shades Of Play)
Ydentiti Crisis, Derreuq - Polarity EP (Shades Of Play)
Le Dj/producteur américain originaire d'Alexandrie en Virginie, Felipe Rivera alias Ydentiti Crisis, élabore son propos musical à partir d'une large palette de sonorités électroniques, puisant aussi bien ses influences dans l'experimental et l'electronica, que dans la minimal techno ou la leftfield house. Epaulé par son compatriote Derek Tucker alias Derreuq, il publie sur le label basé à Washington Shades Of Play son dernier EP baptisé Polarity. Après une année de tâtonnement, d'apprentissage et d'introspection, le tandem accouche d'un recueil de 9 titres profonds et sombres, où sonorités analogiques et électroniques se combinent, créant alors des textures immersives au groove chaud et organique ("Wait For Me (Original Mix)", "Otherside (Original Mix)"), mais alignant également des ambiances glaçantes et industrielles ("Polarity (Original Mix)", "Blind (Original Mix)", "Desire (Original Mix)").
Le Dj/producteur américain originaire d'Alexandrie en Virginie, Felipe Rivera alias Ydentiti Crisis, élabore son propos musical à partir d'une large palette de sonorités électroniques, puisant aussi bien ses influences dans l'experimental et l'electronica, que dans la minimal techno ou la leftfield house. Epaulé par son compatriote Derek Tucker alias Derreuq, il publie sur le label basé à Washington Shades Of Play son dernier EP baptisé Polarity. Après une année de tâtonnement, d'apprentissage et d'introspection, le tandem accouche d'un recueil de 9 titres profonds et sombres, où sonorités analogiques et électroniques se combinent, créant alors des textures immersives au groove chaud et organique ("Wait For Me (Original Mix)", "Otherside (Original Mix)"), mais alignant également des ambiances glaçantes et industrielles ("Polarity (Original Mix)", "Blind (Original Mix)", "Desire (Original Mix)").
lundi 19 mars 2018
Eli Escobar - City Song EP (Classic Music Compagny)
Eli Escobar - City Song EP (Classic Music Compagny)
Extraits de son 3° opus baptisé Shout et paru courant Novembre 2017 sur Classic Music Compagny, les titres emblématiques "City Song" et "City Song Part. 2 (Peace, Love and Harmony)" du Dj/producteur à la touche inimitable, Eli Escobar, nous replongent dans des sonorités underground empreintes de disco, de funk et de house d'un personnage devenu incontournable sur la scène club new-yorkaise, artiste qui nous avait déjà livré plus tôt, les singles, "Muzik" et "Handz Up". Doté d'une ligne de basse funky étourdissante et de field recordings nous évoquant les bruits urbains si familiers de la Big Apple, le morceau réunit tous les ingrédients qui façonnent les bombes discoïdes dont on raffole : kit de samples de batterie analogiques et claviers vintage, vocaux soulful et percussions accrocheuses...
Dans ce nouvel EP nommé City Song, un edit de Ron Basejam (alias Jim Baron de Crazy P)poussant les reflets funk à leurs paroxysmes, complète la nouvelle version qu'Eli a lui-même orchestré de son propre "City Song Part. 2 (Peace, Love and Harmony)". Ils sont tous deux accompagnés d'un remix du thème "City Song", réalisé par le duo allemand COEO. Ce dernier nous livre un moment deep-house captivant et immersif, donnant à la production un visage complètement nouveau.
Extraits de son 3° opus baptisé Shout et paru courant Novembre 2017 sur Classic Music Compagny, les titres emblématiques "City Song" et "City Song Part. 2 (Peace, Love and Harmony)" du Dj/producteur à la touche inimitable, Eli Escobar, nous replongent dans des sonorités underground empreintes de disco, de funk et de house d'un personnage devenu incontournable sur la scène club new-yorkaise, artiste qui nous avait déjà livré plus tôt, les singles, "Muzik" et "Handz Up". Doté d'une ligne de basse funky étourdissante et de field recordings nous évoquant les bruits urbains si familiers de la Big Apple, le morceau réunit tous les ingrédients qui façonnent les bombes discoïdes dont on raffole : kit de samples de batterie analogiques et claviers vintage, vocaux soulful et percussions accrocheuses...
Dans ce nouvel EP nommé City Song, un edit de Ron Basejam (alias Jim Baron de Crazy P)poussant les reflets funk à leurs paroxysmes, complète la nouvelle version qu'Eli a lui-même orchestré de son propre "City Song Part. 2 (Peace, Love and Harmony)". Ils sont tous deux accompagnés d'un remix du thème "City Song", réalisé par le duo allemand COEO. Ce dernier nous livre un moment deep-house captivant et immersif, donnant à la production un visage complètement nouveau.
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