Le quartet français Electric Vocuhila nous livrait le 30 Mai dernier, son dernier opus intitulé Kombino Splinto. Il s'agit d'un recueil de 7 titres frénétiques et électriques, habités d'un jazz libre et de rythmiques hypnotiques d'inspirations africaines (afro-beat, rumba congolaise, tsapiky malgache et éthio-jazz). Joueuse et espiègle, la formation emmenée par Maxime Bobo (sax, claviers, composition) et le batteur Etienne Ziemniak s'appuie en partie sur la théorie musicale (harmolodie) du saxophoniste-trompettiste et violoniste Ornette Coleman, père du free-jazz. Elaborant, dans des ambiances estivales joyeuses et festives, de longues séquences brulantes, faites de phrasés sinueux, de motifs répétitifs, de riffs acérés et explosifs, Electric Vocuhila invite l'auditeur à la transe et à la danse. Les syncopes du batteur sont doublées par la basse généreuse de François Riffaud, tandis que la guitare vrombissante de Boris Rosenfeld, accompagnant le saxophone tonitruant de Maxime, vient ajouter sa touche psychédélique à un ensemble un peu fou et faussement bordélique.
"MUSIC CREATES ORDER OUT OF CHAOS" (Yehudi Menuhin) hiko.events@gmail.com www.mixcloud.com/hikoevents
mercredi 9 août 2017
Electric Vocuhila - Kombino Splinto (Capsule/L'Autre Distribution)afro-beat, sébène congolais, tsapiky malgache, éthio-jazz
Electric Vocuhila - Kombino Splinto (Capsule/L'Autre Distribution)
Le quartet français Electric Vocuhila nous livrait le 30 Mai dernier, son dernier opus intitulé Kombino Splinto. Il s'agit d'un recueil de 7 titres frénétiques et électriques, habités d'un jazz libre et de rythmiques hypnotiques d'inspirations africaines (afro-beat, rumba congolaise, tsapiky malgache et éthio-jazz). Joueuse et espiègle, la formation emmenée par Maxime Bobo (sax, claviers, composition) et le batteur Etienne Ziemniak s'appuie en partie sur la théorie musicale (harmolodie) du saxophoniste-trompettiste et violoniste Ornette Coleman, père du free-jazz. Elaborant, dans des ambiances estivales joyeuses et festives, de longues séquences brulantes, faites de phrasés sinueux, de motifs répétitifs, de riffs acérés et explosifs, Electric Vocuhila invite l'auditeur à la transe et à la danse. Les syncopes du batteur sont doublées par la basse généreuse de François Riffaud, tandis que la guitare vrombissante de Boris Rosenfeld, accompagnant le saxophone tonitruant de Maxime, vient ajouter sa touche psychédélique à un ensemble un peu fou et faussement bordélique.
Le quartet français Electric Vocuhila nous livrait le 30 Mai dernier, son dernier opus intitulé Kombino Splinto. Il s'agit d'un recueil de 7 titres frénétiques et électriques, habités d'un jazz libre et de rythmiques hypnotiques d'inspirations africaines (afro-beat, rumba congolaise, tsapiky malgache et éthio-jazz). Joueuse et espiègle, la formation emmenée par Maxime Bobo (sax, claviers, composition) et le batteur Etienne Ziemniak s'appuie en partie sur la théorie musicale (harmolodie) du saxophoniste-trompettiste et violoniste Ornette Coleman, père du free-jazz. Elaborant, dans des ambiances estivales joyeuses et festives, de longues séquences brulantes, faites de phrasés sinueux, de motifs répétitifs, de riffs acérés et explosifs, Electric Vocuhila invite l'auditeur à la transe et à la danse. Les syncopes du batteur sont doublées par la basse généreuse de François Riffaud, tandis que la guitare vrombissante de Boris Rosenfeld, accompagnant le saxophone tonitruant de Maxime, vient ajouter sa touche psychédélique à un ensemble un peu fou et faussement bordélique.
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