Al Di Meola
– Elysium (Inakustik Records)

Accompagné de trois claviéristes (Barry Miles, Philippe Saisse,
Mario Parmisano), d’un batteur (Peter Kaszas) et d’un percussionniste
indien (Rhani Krija), le compositeur
très imprégné des cultures gipsy et
flamenca a choisi pour l’occasion de ne pas s’entourer de bassiste, une
absence notable dans un projet jazz
rock, mais compensée par des arrangements de guitares conçus sur mesure et
occupant un vaste espace sonore, au détriment de ses acolytes relayés en toile
de fond.
Le tango d’Astor
Piazzola, le flamenco de Paco De
Lucia, le jazz fusion de Chick Corea,
John MacLaughlin ou de Jaco Pastorius et le rock latino de Carlos Santana continuent à hanter son
jardin secret, son petit coin de paradis musical accessible aux
amateurs avertis.
A noter La Lluvia qui clôt Elysium tout en légèreté, un hymne smooth jazz aux reflets latins des plus estivaux.
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