C'est avec plaisir et curiosité que je découvre Jazz Association, le tout dernier projet de l'incontournable flûtiste parisien Magik Malik, véritable chantre de la scène jazz moderne européenne. S'illustrant comme toujours avec un lyrisme saisissant, il se présente ici dans un exercice plutôt insolite au vue de son répertoire habituel. En effet, ce magicien polyvalent de la flûte traversière, farceur fantaisiste, virtuose d'un scat décalé et de vocalises bien à lui, s'attelle pour la toute première fois à jouer la musique des monstres sacrés du jazz qui l'ont accompagné lors de ses classes et qui continuent à hanter sa carrière de musicien éclectique, que l'on croyait d'ailleurs iconoclaste. Entouré de fidèles complices, Olivier Laisney à la trompette, Maxime Sanchez au piano, Damien Varaillon à la contrebasse et Stefano Lucchini à la batterie, il reprend les standards intemporels des emblématiques Clifford Brown, Sonny Rollins, Wayne Shorter, John Coltrane ou Thelonious Monk, mettant de côté l'espace d'un disque les "relations qu'il a pris goût de tisser entre traditions caraïbes et concepts compositionnels mathématiques", "logiques de l'harmonie occidentale et pulsations urbaines", "chansons populaires et abstraction musicale, funk et microtonalité, ..." Bref, un retour aux sources, une pause, un hommage ou plutôt une célébration du jeu en quintet qui s'exprime dans "une immédiateté jubilatoire" s'adressant au plus grand nombre d'entre nous.
"MUSIC CREATES ORDER OUT OF CHAOS" (Yehudi Menuhin) hiko.events@gmail.com www.mixcloud.com/hikoevents
vendredi 24 mai 2019
Magic Malik - Jazz Association (Jazz&People)
Magic Malik - Jazz Association (Jazz&People)
C'est avec plaisir et curiosité que je découvre Jazz Association, le tout dernier projet de l'incontournable flûtiste parisien Magik Malik, véritable chantre de la scène jazz moderne européenne. S'illustrant comme toujours avec un lyrisme saisissant, il se présente ici dans un exercice plutôt insolite au vue de son répertoire habituel. En effet, ce magicien polyvalent de la flûte traversière, farceur fantaisiste, virtuose d'un scat décalé et de vocalises bien à lui, s'attelle pour la toute première fois à jouer la musique des monstres sacrés du jazz qui l'ont accompagné lors de ses classes et qui continuent à hanter sa carrière de musicien éclectique, que l'on croyait d'ailleurs iconoclaste. Entouré de fidèles complices, Olivier Laisney à la trompette, Maxime Sanchez au piano, Damien Varaillon à la contrebasse et Stefano Lucchini à la batterie, il reprend les standards intemporels des emblématiques Clifford Brown, Sonny Rollins, Wayne Shorter, John Coltrane ou Thelonious Monk, mettant de côté l'espace d'un disque les "relations qu'il a pris goût de tisser entre traditions caraïbes et concepts compositionnels mathématiques", "logiques de l'harmonie occidentale et pulsations urbaines", "chansons populaires et abstraction musicale, funk et microtonalité, ..." Bref, un retour aux sources, une pause, un hommage ou plutôt une célébration du jeu en quintet qui s'exprime dans "une immédiateté jubilatoire" s'adressant au plus grand nombre d'entre nous.
C'est avec plaisir et curiosité que je découvre Jazz Association, le tout dernier projet de l'incontournable flûtiste parisien Magik Malik, véritable chantre de la scène jazz moderne européenne. S'illustrant comme toujours avec un lyrisme saisissant, il se présente ici dans un exercice plutôt insolite au vue de son répertoire habituel. En effet, ce magicien polyvalent de la flûte traversière, farceur fantaisiste, virtuose d'un scat décalé et de vocalises bien à lui, s'attelle pour la toute première fois à jouer la musique des monstres sacrés du jazz qui l'ont accompagné lors de ses classes et qui continuent à hanter sa carrière de musicien éclectique, que l'on croyait d'ailleurs iconoclaste. Entouré de fidèles complices, Olivier Laisney à la trompette, Maxime Sanchez au piano, Damien Varaillon à la contrebasse et Stefano Lucchini à la batterie, il reprend les standards intemporels des emblématiques Clifford Brown, Sonny Rollins, Wayne Shorter, John Coltrane ou Thelonious Monk, mettant de côté l'espace d'un disque les "relations qu'il a pris goût de tisser entre traditions caraïbes et concepts compositionnels mathématiques", "logiques de l'harmonie occidentale et pulsations urbaines", "chansons populaires et abstraction musicale, funk et microtonalité, ..." Bref, un retour aux sources, une pause, un hommage ou plutôt une célébration du jeu en quintet qui s'exprime dans "une immédiateté jubilatoire" s'adressant au plus grand nombre d'entre nous.
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