Le contrebassiste niçois Jean-Christophe Bournine publiera le 10 Avril prochain via Imago Records le second opus de son projet solo baptisé Merakhaazan. Veines est un recueil étourdissant de 8 compositions aux textures electro-acoustiques saisissantes et sanguines, mêlant à la fois musique classique, expérimentations post-rock, psychédélisme touareg, bande-son cinématographique ("Nosferatu ! Ce nom ne sonne-t-il pas à nos oreilles?", "...comme le Chant d'un Oiseau Mort à Minuit?"), poésie zen, sensualité latine et réminiscences arabo-andalouses ("Souffle"). Il aligne des jeux d'ambiances intimistes et délicieusement immersives ("Haïku", "La Caresse"), mais affiche également des atmosphères plus tendues et oppressantes ("Erethysme"). Si les sonorités entêtantes qui naissent de la contrebasse à 5 cordes amplifiée et auto-échantillonnée du musicien ("Venin") s'élèvent parfois vers la lumière ("Dernière Danse"), une large part de cet univers mélodique baroque et expressionniste tend à nous immerger dans sa nuit sombre, profonde et agitée ("Morsures", "Sang").
"MUSIC CREATES ORDER OUT OF CHAOS" (Yehudi Menuhin) hiko.events@gmail.com www.mixcloud.com/hikoevents
mardi 31 mars 2020
Merakhaazan - Veines (Imago Records/Socadisc)
Merakhaazan - Veines (Imago Records/Socadisc)
Le contrebassiste niçois Jean-Christophe Bournine publiera le 10 Avril prochain via Imago Records le second opus de son projet solo baptisé Merakhaazan. Veines est un recueil étourdissant de 8 compositions aux textures electro-acoustiques saisissantes et sanguines, mêlant à la fois musique classique, expérimentations post-rock, psychédélisme touareg, bande-son cinématographique ("Nosferatu ! Ce nom ne sonne-t-il pas à nos oreilles?", "...comme le Chant d'un Oiseau Mort à Minuit?"), poésie zen, sensualité latine et réminiscences arabo-andalouses ("Souffle"). Il aligne des jeux d'ambiances intimistes et délicieusement immersives ("Haïku", "La Caresse"), mais affiche également des atmosphères plus tendues et oppressantes ("Erethysme"). Si les sonorités entêtantes qui naissent de la contrebasse à 5 cordes amplifiée et auto-échantillonnée du musicien ("Venin") s'élèvent parfois vers la lumière ("Dernière Danse"), une large part de cet univers mélodique baroque et expressionniste tend à nous immerger dans sa nuit sombre, profonde et agitée ("Morsures", "Sang").
Le contrebassiste niçois Jean-Christophe Bournine publiera le 10 Avril prochain via Imago Records le second opus de son projet solo baptisé Merakhaazan. Veines est un recueil étourdissant de 8 compositions aux textures electro-acoustiques saisissantes et sanguines, mêlant à la fois musique classique, expérimentations post-rock, psychédélisme touareg, bande-son cinématographique ("Nosferatu ! Ce nom ne sonne-t-il pas à nos oreilles?", "...comme le Chant d'un Oiseau Mort à Minuit?"), poésie zen, sensualité latine et réminiscences arabo-andalouses ("Souffle"). Il aligne des jeux d'ambiances intimistes et délicieusement immersives ("Haïku", "La Caresse"), mais affiche également des atmosphères plus tendues et oppressantes ("Erethysme"). Si les sonorités entêtantes qui naissent de la contrebasse à 5 cordes amplifiée et auto-échantillonnée du musicien ("Venin") s'élèvent parfois vers la lumière ("Dernière Danse"), une large part de cet univers mélodique baroque et expressionniste tend à nous immerger dans sa nuit sombre, profonde et agitée ("Morsures", "Sang").
Merci !
RépondreSupprimerFabuleux !
RépondreSupprimer