Toujours entouré de ses fidèles acolytes, Fabrice Moreau à la batterie, Mauro Gargano à la contrebasse, Ludovic Allainmat au piano/rhodes et Artyom Minasyan aux traditionnels doudouk, chevi et zurna, le saxophoniste franco-arménien Alexis Avakian publiait le 25 Janvier dernier son album Miasin. Rassemblant 10 compositions, dont la plupart écrites par ses soins, ainsi qu'une reprise vibrante du classique "Erzeroumi Shoror", sublimé par le joueur de târ Miquayel Voskanyan, le disque combine à nouveau le raffinement et les possibilités du jazz aux sonorités singulières de la musique arménienne, un subtil cocktail que nous appréciions déjà dans son précédent Hi Dream, paru en 2016. Les origines de l’artiste surgissent évidemment aux détours de quelques combinaisons mélodiques et rythmiques colorées, mais ce qui importe pour lui est l'interplay qu'il a su développer avec ses acolytes, un jeu qui les place sur une même longueur d'onde, aussi bien dans les moments bouleversants comme "Yerevanadzor" que dans les passages plus incisifs et torturés tel que "Circus".
"MUSIC CREATES ORDER OUT OF CHAOS" (Yehudi Menuhin) hiko.events@gmail.com www.mixcloud.com/hikoevents
lundi 18 février 2019
Alexis Avakian - Miasin (CD Diggin Music Prod/Absilone/Socadisc)
Alexis Avakian - Miasin (CD Diggin Music Prod/Absilone/Socadisc)
Toujours entouré de ses fidèles acolytes, Fabrice Moreau à la batterie, Mauro Gargano à la contrebasse, Ludovic Allainmat au piano/rhodes et Artyom Minasyan aux traditionnels doudouk, chevi et zurna, le saxophoniste franco-arménien Alexis Avakian publiait le 25 Janvier dernier son album Miasin. Rassemblant 10 compositions, dont la plupart écrites par ses soins, ainsi qu'une reprise vibrante du classique "Erzeroumi Shoror", sublimé par le joueur de târ Miquayel Voskanyan, le disque combine à nouveau le raffinement et les possibilités du jazz aux sonorités singulières de la musique arménienne, un subtil cocktail que nous appréciions déjà dans son précédent Hi Dream, paru en 2016. Les origines de l’artiste surgissent évidemment aux détours de quelques combinaisons mélodiques et rythmiques colorées, mais ce qui importe pour lui est l'interplay qu'il a su développer avec ses acolytes, un jeu qui les place sur une même longueur d'onde, aussi bien dans les moments bouleversants comme "Yerevanadzor" que dans les passages plus incisifs et torturés tel que "Circus".
Toujours entouré de ses fidèles acolytes, Fabrice Moreau à la batterie, Mauro Gargano à la contrebasse, Ludovic Allainmat au piano/rhodes et Artyom Minasyan aux traditionnels doudouk, chevi et zurna, le saxophoniste franco-arménien Alexis Avakian publiait le 25 Janvier dernier son album Miasin. Rassemblant 10 compositions, dont la plupart écrites par ses soins, ainsi qu'une reprise vibrante du classique "Erzeroumi Shoror", sublimé par le joueur de târ Miquayel Voskanyan, le disque combine à nouveau le raffinement et les possibilités du jazz aux sonorités singulières de la musique arménienne, un subtil cocktail que nous appréciions déjà dans son précédent Hi Dream, paru en 2016. Les origines de l’artiste surgissent évidemment aux détours de quelques combinaisons mélodiques et rythmiques colorées, mais ce qui importe pour lui est l'interplay qu'il a su développer avec ses acolytes, un jeu qui les place sur une même longueur d'onde, aussi bien dans les moments bouleversants comme "Yerevanadzor" que dans les passages plus incisifs et torturés tel que "Circus".
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