Le pianiste parisien Laurent Fickelson découvre le jazz sur le tard, à 22 ans, lorsqu'il écoute pour la première fois l'album We Want Miles, du second quintet de Miles Davis. Une claque musicale qui en précédera bien d'autres, de John Coltrane à Wayne Shorter, en passant par Billy Strayhorn, Duke Ellington, Joe Henderson, Thelonious Monk ou Yusef Lateef. Des influences classieuses et classiques pour un musicien-gardien du temple, qui s'efforce de jouer une musique sophistiquée et codifiée, certes, mais des plus vivantes et imprévisibles. Dans son dernier opus baptisé In The Street, où il aligne des reprises incontournables de ses idoles ("The Promise", "Edda" ou "'Round Midnight") et des compositions personnelles inspirées ("In The Street" ou "For Joe"), l'artiste s'est entouré d'un casting de poids lourds de la scène hexagonale. S'y côtoient en effet le contrebassiste Thomas Bramerie, le saxophoniste Eric Prost (qui signe d'ailleurs le titre "07") et le batteur Philippe Soirat. Tous trois sont des puncheurs expérimentés aux jeux de jambes élégants et à la maîtrise du swing édifiante!
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lundi 1 octobre 2018
Laurent Fickelson - In The Street (Jazz Family/Socadisc)
Laurent Fickelson - In The Street (Jazz Family/Socadisc)
Le pianiste parisien Laurent Fickelson découvre le jazz sur le tard, à 22 ans, lorsqu'il écoute pour la première fois l'album We Want Miles, du second quintet de Miles Davis. Une claque musicale qui en précédera bien d'autres, de John Coltrane à Wayne Shorter, en passant par Billy Strayhorn, Duke Ellington, Joe Henderson, Thelonious Monk ou Yusef Lateef. Des influences classieuses et classiques pour un musicien-gardien du temple, qui s'efforce de jouer une musique sophistiquée et codifiée, certes, mais des plus vivantes et imprévisibles. Dans son dernier opus baptisé In The Street, où il aligne des reprises incontournables de ses idoles ("The Promise", "Edda" ou "'Round Midnight") et des compositions personnelles inspirées ("In The Street" ou "For Joe"), l'artiste s'est entouré d'un casting de poids lourds de la scène hexagonale. S'y côtoient en effet le contrebassiste Thomas Bramerie, le saxophoniste Eric Prost (qui signe d'ailleurs le titre "07") et le batteur Philippe Soirat. Tous trois sont des puncheurs expérimentés aux jeux de jambes élégants et à la maîtrise du swing édifiante!
Le pianiste parisien Laurent Fickelson découvre le jazz sur le tard, à 22 ans, lorsqu'il écoute pour la première fois l'album We Want Miles, du second quintet de Miles Davis. Une claque musicale qui en précédera bien d'autres, de John Coltrane à Wayne Shorter, en passant par Billy Strayhorn, Duke Ellington, Joe Henderson, Thelonious Monk ou Yusef Lateef. Des influences classieuses et classiques pour un musicien-gardien du temple, qui s'efforce de jouer une musique sophistiquée et codifiée, certes, mais des plus vivantes et imprévisibles. Dans son dernier opus baptisé In The Street, où il aligne des reprises incontournables de ses idoles ("The Promise", "Edda" ou "'Round Midnight") et des compositions personnelles inspirées ("In The Street" ou "For Joe"), l'artiste s'est entouré d'un casting de poids lourds de la scène hexagonale. S'y côtoient en effet le contrebassiste Thomas Bramerie, le saxophoniste Eric Prost (qui signe d'ailleurs le titre "07") et le batteur Philippe Soirat. Tous trois sont des puncheurs expérimentés aux jeux de jambes élégants et à la maîtrise du swing édifiante!
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