Le saxophoniste libanais Toufic Farroukh nous offre son nouvel opus baptisé Villes Invisibles, un très beau recueil de 13 compositions brillantes où jazz, folklore des Balkans, sonorités orientales et musiques latines se chevauchent et s'entremêlent avec grâce dans une débauche d'évocations visuelles, dévoilant des cités utopiques radieuses, inspirées du roman homonyme de l'écrivain et philosophe italien, Italo Calvino. Comme le ferait l'auteur d'une bande originale de film, le musicien met des notes et bâti des ambiances autour de visions d'un réel sublimé et idéal. Entouré de figures bien connues de la scène hexagonales dont l'accordéoniste Didier Ithursarry, le bassiste Marc Buronfosse, le joueur de oud Ahmad El Khatib, le guitariste Frédéric Favorel ou encore le pianiste et co-arrangeur du disque Leandro Aconcha, Toufic ballade l'auditeur au gré de ses rêveries poétiques et délicates. Accompagnée par les excellents rythmiciens Luc Isenman à la batterie et Bachar Khalifé aux percussions, la formation établie une conversation raffinée flottant en dehors de tout repères temporels et géographiques. S'il un titre devait résumer Villes Invisibles, il s'agirait de "Rio de Cairo", le parfait trait d'union entre deux cultures à priori au antipodes l'une de l'autre, porté par la voix de Naima Yazbek. l'une des rares danseuses professionnelles au Liban, qui s'exprime ici en brésilien, sa langue maternelle.
"MUSIC CREATES ORDER OUT OF CHAOS" (Yehudi Menuhin) hiko.events@gmail.com www.mixcloud.com/hikoevents
lundi 30 janvier 2017
Toufic Farroukh - Villes Invisibles (Hot8 Music/L'Autre Distribution)
Toufic Farroukh - Villes Invisibles (Hot8 Music/L'Autre Distribution)
Le saxophoniste libanais Toufic Farroukh nous offre son nouvel opus baptisé Villes Invisibles, un très beau recueil de 13 compositions brillantes où jazz, folklore des Balkans, sonorités orientales et musiques latines se chevauchent et s'entremêlent avec grâce dans une débauche d'évocations visuelles, dévoilant des cités utopiques radieuses, inspirées du roman homonyme de l'écrivain et philosophe italien, Italo Calvino. Comme le ferait l'auteur d'une bande originale de film, le musicien met des notes et bâti des ambiances autour de visions d'un réel sublimé et idéal. Entouré de figures bien connues de la scène hexagonales dont l'accordéoniste Didier Ithursarry, le bassiste Marc Buronfosse, le joueur de oud Ahmad El Khatib, le guitariste Frédéric Favorel ou encore le pianiste et co-arrangeur du disque Leandro Aconcha, Toufic ballade l'auditeur au gré de ses rêveries poétiques et délicates. Accompagnée par les excellents rythmiciens Luc Isenman à la batterie et Bachar Khalifé aux percussions, la formation établie une conversation raffinée flottant en dehors de tout repères temporels et géographiques. S'il un titre devait résumer Villes Invisibles, il s'agirait de "Rio de Cairo", le parfait trait d'union entre deux cultures à priori au antipodes l'une de l'autre, porté par la voix de Naima Yazbek. l'une des rares danseuses professionnelles au Liban, qui s'exprime ici en brésilien, sa langue maternelle.
Le saxophoniste libanais Toufic Farroukh nous offre son nouvel opus baptisé Villes Invisibles, un très beau recueil de 13 compositions brillantes où jazz, folklore des Balkans, sonorités orientales et musiques latines se chevauchent et s'entremêlent avec grâce dans une débauche d'évocations visuelles, dévoilant des cités utopiques radieuses, inspirées du roman homonyme de l'écrivain et philosophe italien, Italo Calvino. Comme le ferait l'auteur d'une bande originale de film, le musicien met des notes et bâti des ambiances autour de visions d'un réel sublimé et idéal. Entouré de figures bien connues de la scène hexagonales dont l'accordéoniste Didier Ithursarry, le bassiste Marc Buronfosse, le joueur de oud Ahmad El Khatib, le guitariste Frédéric Favorel ou encore le pianiste et co-arrangeur du disque Leandro Aconcha, Toufic ballade l'auditeur au gré de ses rêveries poétiques et délicates. Accompagnée par les excellents rythmiciens Luc Isenman à la batterie et Bachar Khalifé aux percussions, la formation établie une conversation raffinée flottant en dehors de tout repères temporels et géographiques. S'il un titre devait résumer Villes Invisibles, il s'agirait de "Rio de Cairo", le parfait trait d'union entre deux cultures à priori au antipodes l'une de l'autre, porté par la voix de Naima Yazbek. l'une des rares danseuses professionnelles au Liban, qui s'exprime ici en brésilien, sa langue maternelle.
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